J'espère qu'il est plus adapté que le premier !Carlos Alvarez est né il y a 25 ans à Parral. Il s’agit d’une petite ville du Mexique.
Cette ville est tenue par une mafia locale dont le parrain est Iván Alvarez, son père.
Iván est un petit homme d’une soixantaine d’années. Il sème la terreur à Parral grâce à sa bande. Sa spécialité : les incendies de bâtiments. Il fait payer une taxe aux commerçants contre la protection de sa bande. Iván reverse une partie de cette taxe à la police mexicaine.
María Alvarez est la mère de Carlos et la femme d’Iván. Elle est née d’une famille d'épiciers de Parral. Elle a eu un mariage d’amour avec Iván car elle a été séduite par la puissance de son mari. Elle s’est mariée contre l’avis officieux de sa famille ce qui fait qu’elle a perdu contact progressivement avec ses parents et son frère. Elle participait aux activités criminelles de son mari en se faisant “offrir” des choses par les commerçants de Parral (comme si leur cadeau était plus un gage d’amitié qu’une taxe qu’ils payaient à la famille Alvarez). Le seul commerçant auquel elle insistait pour payer ses consommations était son père.
Carlos a grandi dans cette famille au point d’en dépasser tous les membres d’une bonne tête et demi. Au village, on le nommait Alvarecito (le petit Alvarez). Surnom doublement ironique, car il n’était pas craint par les gens de Parral. Il avait tellement peu de charisme que certaines personnes ignoraient de qui il était le fils. Il payait donc souvent ses consommations et il avait des bonnes relations avec la famille de sa mère. Il n’était pas craint et pouvait jouer au poker sans risquer qu’on le laisse gagner.
Il comprit la violence du mode de vie de son père il y a seulement 2 ans, lorsque Iván commença à battre María. La femme ne voulant / pouvant pas quitter son mari, Carlos mis au point un projet de fuite avec sa mère vers la Californie.
Il fut aidé par la famille de sa mère qui lui fournit la voiture et une diversion.
Le jour J, la belle-famille d’Iván le retint avec une fausse histoire d’impayés. Carlos profita des quelques minutes que durait cette diversion, pour expliquer son plan à María et tenter de la convaincre de le suivre jusqu'en Californie. A la grande surprise de Carlos, sa mère refusa. Pris de panique, il utilisa des somnifères pour “shooter” sa mère et rejoindre la frontière. En route, il réalisa qu’il ne pourrait sûrement pas passer la frontière par la terre et décida d’aller à Culiacán pour trouver un bateau.
Sur le port, Carlos négocia la location d’un bateau de pêche en haute mer et mis la voiture en gage.
C’est ainsi qu’il prit la mer avec María à moitié endormie en soute. Il attendit la nuit pour esquiver les gardes côtes qui officient au large de LA. Au prix d’un peu de maîtrise de la navigation, d’un gros coup de chance et d’un gros pourboire, il pu enfin accoster au port de Redondo Beach.
La nuit de leur arrivée, María, qui n’était plus aussi droguée que son fils le croyait, prit la fuite en se jetant à la mer. Dans l’obscurité, Carlos la perdit de vue trop rapidement pour la poursuivre.
Arrivée au port, il trouva un arrangement avec le capitaine : une place au port contre quelques billets verts.
Pour financer sa place, Carlos se mis à faire des petits boulots en tant que livreur. Il trouva rapidement un poste régulier de videur dans une salle de jeux clandestine.
Il découvrit, à cette occasion, qu'il avait un peu plus de talent que le joueur de poker américain moyen.
Il se mit alors à jouer à plein temps pour financer son gîte et son couvert. Son but était de trouver une source de revenus plus régulière. Il pensa à entrer dans la police, mais ratta trois fois de suite les concours d’entrée.
Il croisa l’un des lieutenant qui l’avait recalé à une table de poker et, en le plumant, il gagna sa place parmi les jeunes recrues de la LAPD.
Il ne fit pas d’étincelle à l’académie.
Après ses études, il gagna une place dans un commissariat du quartier de Gardena. Il se fit quelques relations parmi ses collègues et en profita pour les remplacer sur certains tours de garde contre une partie de leur solde.
Et, c'est justement un soir où il remplaçait le garde de la salle des scellés du commissariat qu’il y eut une attaque.
Deux dealer armées d’un MacKiddie détruisirent la défense extérieure du commissariat. Les flics qui étaient à cet étage se rendirent instantanément.
Entendant le bruit des explosions, Carlos eu le temps de bricoler un patator (qui venait d’être saisi par la brigade) en y ajoutant tout le combustible qu’il put trouver dans la salle. Ce lance-patate se transforma sous ses mains en un patatorazooka.
Lorsque le dealer qui utilisait le mac kiddy explosa la porte de la salle des scellés, Carlos l’attendait et lui envoya une patate entre les deux yeux qui le mis KO avant qu’il n’ait eu le temps de tirer sa dernière rocket. Les deuxième homme, armée uniquement d’un couteau, fut mis hors combat facilement au corps à corps.
La direction du LAPD dut étouffer l’affaire qui était, par bien des points, difficiles à justifier à la presse (flic qui se remplacent sur le tableau de service sans en avertir leurs supérieurs, gardent qui se rendent à la première attaque, Mac Kiddy militaire qui tombe entre les mains de dealers…). On communiqua sur une “fuite de gaz”, on ne donna qu’un avertissement aux gardes qui s’étaient rendus et on confia le Mac kiddie aux bons soins de Carlos.
Sont exploit ayant impressionné ses supérieurs, Carlos fut muté dans le SWAT.
Il est également possible que le président lui-même eu vent de ses actions, ce qui expliquerait l’entretien privé que Carlos eu avec lui ce qui lui permis d’intégrer l’équipe de Deadshot.
Je voulais dire 10 + 5 pour le travail de recherche car les villes de PARRAL et CULIACAN existent!!10 XP + pour t'être rense igné
