Tarek Al Abdin
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Tarek Al Abdin
Je suis Tarek Al Abdin, un des descendant des dragons et je vais vous conter mon histoire.
Mes origines sont lointaines et je ne vais pas rentrer dans les détails aujourd’hui, mais sachez que je suis un Takeride.
Mon enfance fut assez compliquée, j’ai été trimbalé dans différente ville car je servais un occidental, un blanc riche qui avait adopté des enfants.
Cet homme était mauvais, il nous utilisait pour faire son sale travail, des rapines, détrousser des maisons et d’autres choses illégales. En attendant, il paradait avec ses richesses et jouissait d’une bonne célébrité auprès des autres nobles. Tout le monde le voyait comme celui qui sortait les enfants de la rue et qui leur donnais une bonne éducation.
Quand j’ai commencé, nous étions sept enfants, dont Shaïda pour qui j’avais beaucoup d’affection.
Je commençais à devenir bon dans le travail que nous demandais notre maître et Fragrance n’avait plus de secret pour moi.
C’est vers mes 15 ans que tout a déraillé.
Nous n’étions plus que quatre sur les sept, les autres étaient disparu, surement mort ou enfuis.
Moi, je ne pouvais pas partir sans Shaïda, elle était tout pour moi.
On commençait à se voir en cachette et notre amour était en train de naître.
Un soir alors que je l’attendais, elle ne se présenta pas, je me demandais ce qu’il se passait. Le lendemain, alors que j’attendais de la voir, on m’envoya dans la maison d’un historien pour dérober certains livres.
La mission se passe sans accroche malgré le fait que j’avais la tête ailleurs.
A mon retour, Shaïda était là, son comportement me fis comprendre qu’une chose grave c’était passée. Notre maître, cet homme qui se faisait passer pour un riche négociant, que les nobles respectaient, avait abusé de ma Shaïda.
Mon sang ne fit qu’un tour. Je devais lui livrer les livres de ma rapine, je profitais de ce moment de proximité, que ses gardes ne soient pas là pour lui glisser ma lame dans le cou.
Cet assassinat fut comme une délivrance pour moi.
C’étais ce que je suis, un tueur au service des autres qui voulait combattre les injustices et les abus des riches.
La mort du maître permis à mes compagnons de s’enfuir. Shaïda était en train de partir quand les larbins du mort me mirent la main dessus. Je fis le nécessaire pour que les autres disparaissent.
Je fus jeté en prison loin de Fragrance, mon séjour fus court car je devais retrouver celle que j’aimais.
Avec d’autres prisonniers, je montais une évasion, le plan se déroula comme prévu et je me retrouvais au dehors.
Alors que je pensais être sauvé, un garde s’avance sur moi, prés à me tuer alors que j’étais sans défense. Une flèche sortie de nulle part le transperça et me permis de rester en vie.
La question était de savoir comment retrouver mon aimée.
J’avais entendu dire que les Djinns était à même de réaliser les souhaits si je passais leurs épreuves.
A 16 ans, je pris la décision d’aller sur le territoire des Djinns, sans rien avec moi à pars de l’eau et de la nourriture afin de savoir s’il m’aiderait à retrouver Shaïda.
La traversé fu plus difficile que prévu et je du mettre tous mes talents en action pour survivre.
La traversé de leur territoire ne me permis pas de les rencontrer, des épreuves certes, mais aucun n’apparu devant moi pour répondre à mes questions.
C’est à moitié mort, physiquement et psychologiquement que je sortis du territoire.
Un homme m’aide à rester en vie, il était historien, il travaillait avec tous ceux qui voulait bien à crée un traité encyclopédique.
Je suivis cet homme pendant deux ans sur différent territoire, n’ayant plus aucun espoir de retrouver mon amour. Je servais de garde du corps à cet érudit.
Il me fit découvrir des contrés que je ne connaissais pas et je rencontrai un homme qui avait la même marque que moi.
Il se nommait « perso Greg », il avait plus l’air d’un intellectuel que d’un guerrier, mais nos échanges furent courtois malgré nos différences.
A 18 ans, nos pas nous ramenère vers Fragrance.
Je n’avais pas oublié Shaïda et je commençais mes recherches, cela m’entraina à me rendre compte que la ville avait changé. Il y avait comme un cartel, une organisation qui s’occupait des voleurs et autres assassins, son nom était Ibn Aziz Abd Al Salif.
Je rencontrais leur chef, Askir Al Salif, cet homme avais du charisme et beaucoup de respect pour les siens. Il volait au plus riche, prenait des contrats et redistribuait au peuple. Son but était bon, je respectais les choix de cet homme et je me mis à son service.
On était loin des choses que j’avais connu enfant, notre cartel prenait soins des siens.
Assez rapidement, après une année au service d’Askir, il fit de moi son bras droit, mes talents dans la discrétion et le meurtre étaient indéniable, mais surtout ma fidélité au miens l’impressionnait.
Je devais rencontrer une femme pour faire d’elle une de nos informatrices.
Elle se nommait Raina Al Salif, on me l’avait conseillé car elle avait beaucoup de talent et pouvait espionner des seigneurs pour nous.
Elle était plus jeune que moi d’une année seulement, mais elle était terriblement belle et très douée dans le jeu de la séduction.
Elle nous aida fortement en espionnant un seigneur pour nous, je savais que je pouvais compter sur elle, ma confiance était total. De plus, je découvris qu’elle était comme moi, une descendante.
Notre relation professionnelle dura environ 2 ans, je compris qu’elle s’ennuyait et elle suivit sa voix en ouvrant une maison close.
Je gardais un œil bienveillant sur ses affaires et pour ma pars je continuais de poursuivre le travail de l’organisation en protégeant les richesses que nous accumulions pour les pauvres et notre peuple.
Un soir, alors que je passais devant un de nos entrepôt, je vis quelque chose de suspect, mon 6ème sens me dit que quelque chose avait mal tourné.
Alors que je prenais le temps de me dissimuler, je vis des hommes qui étaient en train de piller l’entrepôt, comment ces chiens osaient-ils nous voler, nous les défenseurs du peuple.
Je pris le temps de voir leur position et je me décidai d’intervenir, le premier mourut avant de comprendre ce qu’il se passait, le second avait déjà une de mes lames en travers de la gorge alors le 3ème gisait au sol. Les prochains allaient être plus compliqués, j’étais concentré sur mon combat contre trois adversaires alors que je vis une flèche passée juste à côté de moi pour se figer dans un adversaire derrière moi. Une fois le combat finis, j’examina cette flèche et je trouvais qu’elle ressemblait beaucoup à celle qui m’avais sauvé lors de mon évasion.
Ces dernières années me permirent de prendre soins des miens, de veiller sur Raina dans mon coin, de prendre le temps de montrer aux jeunes que leurs compétences pouvaient bien être utilisés pour eux-mêmes.
Mes origines sont lointaines et je ne vais pas rentrer dans les détails aujourd’hui, mais sachez que je suis un Takeride.
Mon enfance fut assez compliquée, j’ai été trimbalé dans différente ville car je servais un occidental, un blanc riche qui avait adopté des enfants.
Cet homme était mauvais, il nous utilisait pour faire son sale travail, des rapines, détrousser des maisons et d’autres choses illégales. En attendant, il paradait avec ses richesses et jouissait d’une bonne célébrité auprès des autres nobles. Tout le monde le voyait comme celui qui sortait les enfants de la rue et qui leur donnais une bonne éducation.
Quand j’ai commencé, nous étions sept enfants, dont Shaïda pour qui j’avais beaucoup d’affection.
Je commençais à devenir bon dans le travail que nous demandais notre maître et Fragrance n’avait plus de secret pour moi.
C’est vers mes 15 ans que tout a déraillé.
Nous n’étions plus que quatre sur les sept, les autres étaient disparu, surement mort ou enfuis.
Moi, je ne pouvais pas partir sans Shaïda, elle était tout pour moi.
On commençait à se voir en cachette et notre amour était en train de naître.
Un soir alors que je l’attendais, elle ne se présenta pas, je me demandais ce qu’il se passait. Le lendemain, alors que j’attendais de la voir, on m’envoya dans la maison d’un historien pour dérober certains livres.
La mission se passe sans accroche malgré le fait que j’avais la tête ailleurs.
A mon retour, Shaïda était là, son comportement me fis comprendre qu’une chose grave c’était passée. Notre maître, cet homme qui se faisait passer pour un riche négociant, que les nobles respectaient, avait abusé de ma Shaïda.
Mon sang ne fit qu’un tour. Je devais lui livrer les livres de ma rapine, je profitais de ce moment de proximité, que ses gardes ne soient pas là pour lui glisser ma lame dans le cou.
Cet assassinat fut comme une délivrance pour moi.
C’étais ce que je suis, un tueur au service des autres qui voulait combattre les injustices et les abus des riches.
La mort du maître permis à mes compagnons de s’enfuir. Shaïda était en train de partir quand les larbins du mort me mirent la main dessus. Je fis le nécessaire pour que les autres disparaissent.
Je fus jeté en prison loin de Fragrance, mon séjour fus court car je devais retrouver celle que j’aimais.
Avec d’autres prisonniers, je montais une évasion, le plan se déroula comme prévu et je me retrouvais au dehors.
Alors que je pensais être sauvé, un garde s’avance sur moi, prés à me tuer alors que j’étais sans défense. Une flèche sortie de nulle part le transperça et me permis de rester en vie.
La question était de savoir comment retrouver mon aimée.
J’avais entendu dire que les Djinns était à même de réaliser les souhaits si je passais leurs épreuves.
A 16 ans, je pris la décision d’aller sur le territoire des Djinns, sans rien avec moi à pars de l’eau et de la nourriture afin de savoir s’il m’aiderait à retrouver Shaïda.
La traversé fu plus difficile que prévu et je du mettre tous mes talents en action pour survivre.
La traversé de leur territoire ne me permis pas de les rencontrer, des épreuves certes, mais aucun n’apparu devant moi pour répondre à mes questions.
C’est à moitié mort, physiquement et psychologiquement que je sortis du territoire.
Un homme m’aide à rester en vie, il était historien, il travaillait avec tous ceux qui voulait bien à crée un traité encyclopédique.
Je suivis cet homme pendant deux ans sur différent territoire, n’ayant plus aucun espoir de retrouver mon amour. Je servais de garde du corps à cet érudit.
Il me fit découvrir des contrés que je ne connaissais pas et je rencontrai un homme qui avait la même marque que moi.
Il se nommait « perso Greg », il avait plus l’air d’un intellectuel que d’un guerrier, mais nos échanges furent courtois malgré nos différences.
A 18 ans, nos pas nous ramenère vers Fragrance.
Je n’avais pas oublié Shaïda et je commençais mes recherches, cela m’entraina à me rendre compte que la ville avait changé. Il y avait comme un cartel, une organisation qui s’occupait des voleurs et autres assassins, son nom était Ibn Aziz Abd Al Salif.
Je rencontrais leur chef, Askir Al Salif, cet homme avais du charisme et beaucoup de respect pour les siens. Il volait au plus riche, prenait des contrats et redistribuait au peuple. Son but était bon, je respectais les choix de cet homme et je me mis à son service.
On était loin des choses que j’avais connu enfant, notre cartel prenait soins des siens.
Assez rapidement, après une année au service d’Askir, il fit de moi son bras droit, mes talents dans la discrétion et le meurtre étaient indéniable, mais surtout ma fidélité au miens l’impressionnait.
Je devais rencontrer une femme pour faire d’elle une de nos informatrices.
Elle se nommait Raina Al Salif, on me l’avait conseillé car elle avait beaucoup de talent et pouvait espionner des seigneurs pour nous.
Elle était plus jeune que moi d’une année seulement, mais elle était terriblement belle et très douée dans le jeu de la séduction.
Elle nous aida fortement en espionnant un seigneur pour nous, je savais que je pouvais compter sur elle, ma confiance était total. De plus, je découvris qu’elle était comme moi, une descendante.
Notre relation professionnelle dura environ 2 ans, je compris qu’elle s’ennuyait et elle suivit sa voix en ouvrant une maison close.
Je gardais un œil bienveillant sur ses affaires et pour ma pars je continuais de poursuivre le travail de l’organisation en protégeant les richesses que nous accumulions pour les pauvres et notre peuple.
Un soir, alors que je passais devant un de nos entrepôt, je vis quelque chose de suspect, mon 6ème sens me dit que quelque chose avait mal tourné.
Alors que je prenais le temps de me dissimuler, je vis des hommes qui étaient en train de piller l’entrepôt, comment ces chiens osaient-ils nous voler, nous les défenseurs du peuple.
Je pris le temps de voir leur position et je me décidai d’intervenir, le premier mourut avant de comprendre ce qu’il se passait, le second avait déjà une de mes lames en travers de la gorge alors le 3ème gisait au sol. Les prochains allaient être plus compliqués, j’étais concentré sur mon combat contre trois adversaires alors que je vis une flèche passée juste à côté de moi pour se figer dans un adversaire derrière moi. Une fois le combat finis, j’examina cette flèche et je trouvais qu’elle ressemblait beaucoup à celle qui m’avais sauvé lors de mon évasion.
Ces dernières années me permirent de prendre soins des miens, de veiller sur Raina dans mon coin, de prendre le temps de montrer aux jeunes que leurs compétences pouvaient bien être utilisés pour eux-mêmes.
Modifié en dernier par asarius le 18/03/2018 à 18:18, modifié 1 fois.
Re: Tarek Al Abdin
La traversée d'un territoire djinn était pour l'amour d'une femme. Il va de soit qu'il nous faut savoir pourquoi et qui elle est .
Et la zone n'était pas soit disant. Les djinns ne sont pas des légendes mais des réalités
Cela indique bien la dangerosité de ce périple et donc la cause doit être en rapport avec cela. Et la traversée était sans arme, cela aussi doit avoir une raison.
Et la zone n'était pas soit disant. Les djinns ne sont pas des légendes mais des réalités
Cela indique bien la dangerosité de ce périple et donc la cause doit être en rapport avec cela. Et la traversée était sans arme, cela aussi doit avoir une raison.
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
Re: Tarek Al Abdin
Du coup j'ai relu ton background...Y a pas de problème pour la progression, tu fais partie de l'organisation des enfants du Souk de Fragrance.
Bon c'est pas de bol y a un contexte spécifique sur le crime à Fragrance
Mais en attendant cela te premettra de grimper les premières paroles sans soucis.
Bon c'est pas de bol y a un contexte spécifique sur le crime à Fragrance
Mais en attendant cela te premettra de grimper les premières paroles sans soucis.
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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Re: Tarek Al Abdin
Cela faisait déjà plusieurs semaines que nous étions partis. A la base, je devais rendre service à Askir Al Salif, un des lieutenants des enfants du Souk sur Fragrance.
Je le considérais comme un ami et c’était pour moi un plaisir de me rendre à Sagrada pour délivrer un message.
Mon ami Raïna qui rencontrais des difficultés avec son affaire et des soucis de liquidité, devait se rendre à Sagrada pour faire des affaires. Il devait y avoir la foire à l’âne et c’était un moment propice à faire du commerce.
Nous partions avec Hector et Helias, deux connaissances qui portaient comme nous la marque du dragon.
Sagrada était une belle ville et très animée pendant la période de la foire, il y avait beaucoup de monde, de marchand et de badaud qui déambulait.
Nous allions profiter des jeux pour montrer certains de nos talents, que ce soit Helias ou moi-même au tir à l’arc, mon amie Raïna à déclamer un poème ou Hector avec sa force.
Mais forcement le destin ne nous avait pas fait venir ici par hasard, des cris d’une femme attira notre attention, nos compagnons réussir à la secourir. Cette belle femme, était entièrement dévêtu sauf au niveau de son bras ou elle portait une sorte d’armure. On apprit ensuite, qu’il s’agissait d’une armure Agalante, un morceau d’armure Hoplite et que c’étais très ancien et très rare, donc très précieux.
Nous allions prendre soin de Sarah Bat Lasar, son père était négociant dans le cuir et un riche commerçant. Elle se promenait dans la ville avec son garde du corps quand tout à coup, comme un voile noir et à son réveil, elle était dans une demeure opulente, elle c’était enfuis.
Lors du retour de la jeune femme chez ses parents, nous apprîmes qu’elle n’était pas la seule à avoir été kidnappée, mais les autres n’avait jamais eu la chance de s’enfuir.
Nous avons obtenu des informations intéressantes, pas toujours amicalement, mais nous avons fait le nécessaire.
Nous savions que le garde avait été empoisonné par un somnifère Agalantein. Le vendeur était Omane Ib Malleck Ib Safi et il nous fournit la liste des acheteurs.
Celui qui nous intéressait le plus était Anotonius Primus Klio Konoctes, un érudit Agalantein qui travaillait pour Hermius, un historien. Et voici comment on pénétra par effraction dans la demeure et que notre compagnon Helias nous fit découvrir ses talents de magicien.
Je ne dirais pas que cette expédition est une réussite, mais en tout cas, elle nous permit de se découvrir les uns et les autres. Car une fois dans la demeure, c’était un parterre de cadavre. Pas le temps de se ressaisir qu’on entend un bruit à l’étage. Hector, est très rapidement en haut, alors que nous sommes en train de réfléchir à quoi faire.
Clairement, on a manqué de lucidité là-dessus, on a peut-être voulu faire trop vite. Un homme c’est échappé avec plusieurs documents. On à la chance d’avoir Hector et Helias qui nous explique la situation. L’homme assassiné est Hermius, il faisait des recherches sur un guerrier du nom de Zoraste, un guerrier myrmidon. On nous explique, qu’un temple a été érigé en souvenir de ce grand guerrier légendaire et Hector nous indique plus ou moins une zone ou pourrait être ce temple.
Malheureusement, on se rend compte que ce sont ces hommes qui enlevaient les femmes et on retrouve plusieurs cadavres, heureusement que Sarah a pu s’enfuir.
Je le considérais comme un ami et c’était pour moi un plaisir de me rendre à Sagrada pour délivrer un message.
Mon ami Raïna qui rencontrais des difficultés avec son affaire et des soucis de liquidité, devait se rendre à Sagrada pour faire des affaires. Il devait y avoir la foire à l’âne et c’était un moment propice à faire du commerce.
Nous partions avec Hector et Helias, deux connaissances qui portaient comme nous la marque du dragon.
Sagrada était une belle ville et très animée pendant la période de la foire, il y avait beaucoup de monde, de marchand et de badaud qui déambulait.
Nous allions profiter des jeux pour montrer certains de nos talents, que ce soit Helias ou moi-même au tir à l’arc, mon amie Raïna à déclamer un poème ou Hector avec sa force.
Mais forcement le destin ne nous avait pas fait venir ici par hasard, des cris d’une femme attira notre attention, nos compagnons réussir à la secourir. Cette belle femme, était entièrement dévêtu sauf au niveau de son bras ou elle portait une sorte d’armure. On apprit ensuite, qu’il s’agissait d’une armure Agalante, un morceau d’armure Hoplite et que c’étais très ancien et très rare, donc très précieux.
Nous allions prendre soin de Sarah Bat Lasar, son père était négociant dans le cuir et un riche commerçant. Elle se promenait dans la ville avec son garde du corps quand tout à coup, comme un voile noir et à son réveil, elle était dans une demeure opulente, elle c’était enfuis.
Lors du retour de la jeune femme chez ses parents, nous apprîmes qu’elle n’était pas la seule à avoir été kidnappée, mais les autres n’avait jamais eu la chance de s’enfuir.
Nous avons obtenu des informations intéressantes, pas toujours amicalement, mais nous avons fait le nécessaire.
Nous savions que le garde avait été empoisonné par un somnifère Agalantein. Le vendeur était Omane Ib Malleck Ib Safi et il nous fournit la liste des acheteurs.
Celui qui nous intéressait le plus était Anotonius Primus Klio Konoctes, un érudit Agalantein qui travaillait pour Hermius, un historien. Et voici comment on pénétra par effraction dans la demeure et que notre compagnon Helias nous fit découvrir ses talents de magicien.
Je ne dirais pas que cette expédition est une réussite, mais en tout cas, elle nous permit de se découvrir les uns et les autres. Car une fois dans la demeure, c’était un parterre de cadavre. Pas le temps de se ressaisir qu’on entend un bruit à l’étage. Hector, est très rapidement en haut, alors que nous sommes en train de réfléchir à quoi faire.
Clairement, on a manqué de lucidité là-dessus, on a peut-être voulu faire trop vite. Un homme c’est échappé avec plusieurs documents. On à la chance d’avoir Hector et Helias qui nous explique la situation. L’homme assassiné est Hermius, il faisait des recherches sur un guerrier du nom de Zoraste, un guerrier myrmidon. On nous explique, qu’un temple a été érigé en souvenir de ce grand guerrier légendaire et Hector nous indique plus ou moins une zone ou pourrait être ce temple.
Malheureusement, on se rend compte que ce sont ces hommes qui enlevaient les femmes et on retrouve plusieurs cadavres, heureusement que Sarah a pu s’enfuir.
Modifié en dernier par asarius le 27/08/2018 à 12:39, modifié 2 fois.
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Re: Tarek Al Abdin
Et nous voici partis en direction de Zarbeth, à dos de dromadaire, en chemin nous tombons sur un camp d’éleveur massacré, j’aurais dû essayer des les enterrer, mais nous étions pris par le temps, chaque seconde comptait.
Sur place, on apprit qu’une expédition scientifique était en cours dans le désert avec un Agalantein et le prince voleur du secteur, « le grand frère »
Il faut maintenant se rendre vers Messara et je décide de prendre un guide car je pense que cela nous fera du gagner du temps. Il s’agit d’une ville dans les montagnes qui fait le commerce de minerai. On y apprend que notre cible est partie la veille avec 4 personnes.
Il faut donc trouver le repère du prince voleur et voir ce qui se trame. Nous arrivons sur place après un petit moment de recherche, bon forcement c’est plutôt bien défendu et on se dit qu’on va y allez en repérage.
En chat, voici comment j’ai exploré la grotte, franchement, je ne pensais pas un jour me retrouver en animal. En tout cas, c’est plutôt facile pour pas se faire voir. La grotte est plutôt grande, il y a environ une trentaine de brigands. Je vois que l’Agalantein a été passé à la question et qu’une expédition est en cours de préparation.
On décide d’attendre le départ des brigands pour revenir dans la grotte et on se rend compte que Clio est mort et que la sphère serait une carte. On se met donc à suivre le groupe, mai Hector se rend compte qu’ils ont l’air complètement perdu.
On se décide donc à agir, j’aurais dû réfléchir avant, car on attaque de nuit et on arrive à passer les premiers gardes, mêmes à éliminer un capitaine, mais au moment de s’en prendre au chef, là c’est une catastrophe. Il est bien trop fort pour nous, on s’enfuis avec les chameaux et le globe. Je n’aurais pas dû m’attaquer à un des enfants du Souk, mais je suis tiraillé dans mon allégeance, car je sers Askir et mon peuple, pas forcément tous ces princes voleurs et mes compagnons me montre que la fidélité va à ceux qui nous accompagne.
Hector étudie le globe et on apprend qu’il est dans la même matière que l’armure, de l’orichalque, grâce à lui, on apprend que le clan Al Tarek avait des relations avec le peuple de l’est et il décide d’amener le globe dans un temple Sheradim. Il découvre une carte du ciel avec une ancienne constellation qui nous dit que le site serait dans une ancienne oasis. Je n’ai pas tout compris, mais je laisse faire les spécialistes.
Nous partons donc pour l’oasis, on se rend compte qu’il y a des crânes sur des piques, que l’eau serait empoisonnée. Mais, oula, la sphère commence à tourner dans la main d’Hector, ça tournoi de plus en plus vite et une tornade de sable commence à se former.
On se retrouve projeter dans le sable, il n’y a plus d’oasis, mais un temple rectangulaire et un grand, un immense serpent des sables qui viens vers nous.
Et oui, rien de plus simple qu’un serpent des sables, bon franchement, on à failli tous mourir, le pire, c’est que celui qui à l’air le plus faible est celui qui a tué le serpent et en plus il nous a soignés. Helias est vraiment un très bon maître de la magie. Nous rentrons dans le temple et Hector passe devant la statue du héros. Il met la pièce d’armure manquante et plus rien, juste un tas de poussière, heureusement l’armure est intacte, mais inutilisable. Nous trouvons aussi dans le serpent une jolie épée qu’il faudra retravailler et quelques babioles.
Je dirais que la première expédition c’est bien passé, même si l’univers qui nous entoure est régie par la magie et les alliances. Il nous faudra faire attention à nos actes et aux ennemis que nous avons.
Sur place, on apprit qu’une expédition scientifique était en cours dans le désert avec un Agalantein et le prince voleur du secteur, « le grand frère »
Il faut maintenant se rendre vers Messara et je décide de prendre un guide car je pense que cela nous fera du gagner du temps. Il s’agit d’une ville dans les montagnes qui fait le commerce de minerai. On y apprend que notre cible est partie la veille avec 4 personnes.
Il faut donc trouver le repère du prince voleur et voir ce qui se trame. Nous arrivons sur place après un petit moment de recherche, bon forcement c’est plutôt bien défendu et on se dit qu’on va y allez en repérage.
En chat, voici comment j’ai exploré la grotte, franchement, je ne pensais pas un jour me retrouver en animal. En tout cas, c’est plutôt facile pour pas se faire voir. La grotte est plutôt grande, il y a environ une trentaine de brigands. Je vois que l’Agalantein a été passé à la question et qu’une expédition est en cours de préparation.
On décide d’attendre le départ des brigands pour revenir dans la grotte et on se rend compte que Clio est mort et que la sphère serait une carte. On se met donc à suivre le groupe, mai Hector se rend compte qu’ils ont l’air complètement perdu.
On se décide donc à agir, j’aurais dû réfléchir avant, car on attaque de nuit et on arrive à passer les premiers gardes, mêmes à éliminer un capitaine, mais au moment de s’en prendre au chef, là c’est une catastrophe. Il est bien trop fort pour nous, on s’enfuis avec les chameaux et le globe. Je n’aurais pas dû m’attaquer à un des enfants du Souk, mais je suis tiraillé dans mon allégeance, car je sers Askir et mon peuple, pas forcément tous ces princes voleurs et mes compagnons me montre que la fidélité va à ceux qui nous accompagne.
Hector étudie le globe et on apprend qu’il est dans la même matière que l’armure, de l’orichalque, grâce à lui, on apprend que le clan Al Tarek avait des relations avec le peuple de l’est et il décide d’amener le globe dans un temple Sheradim. Il découvre une carte du ciel avec une ancienne constellation qui nous dit que le site serait dans une ancienne oasis. Je n’ai pas tout compris, mais je laisse faire les spécialistes.
Nous partons donc pour l’oasis, on se rend compte qu’il y a des crânes sur des piques, que l’eau serait empoisonnée. Mais, oula, la sphère commence à tourner dans la main d’Hector, ça tournoi de plus en plus vite et une tornade de sable commence à se former.
On se retrouve projeter dans le sable, il n’y a plus d’oasis, mais un temple rectangulaire et un grand, un immense serpent des sables qui viens vers nous.
Et oui, rien de plus simple qu’un serpent des sables, bon franchement, on à failli tous mourir, le pire, c’est que celui qui à l’air le plus faible est celui qui a tué le serpent et en plus il nous a soignés. Helias est vraiment un très bon maître de la magie. Nous rentrons dans le temple et Hector passe devant la statue du héros. Il met la pièce d’armure manquante et plus rien, juste un tas de poussière, heureusement l’armure est intacte, mais inutilisable. Nous trouvons aussi dans le serpent une jolie épée qu’il faudra retravailler et quelques babioles.
Je dirais que la première expédition c’est bien passé, même si l’univers qui nous entoure est régie par la magie et les alliances. Il nous faudra faire attention à nos actes et aux ennemis que nous avons.
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Re: Tarek Al Abdin
Nous nous sommes décidés à aller au village des prophètes car nous pourrions y rencontrer des savants qui nous donnent plus d’information sur la transformation de l’armure.
Je me rends compte que notre compagnon Hector est en fait un excellent guide et qu’il connait plutôt bien la région.
Et là, Helias est sollicité par un aveugle qui lui demande de lui rendre la vue, il dit être guidé par les pierres du destin, encore une découverte pour moi et mes compagnons.
Notre ami est tiraillé, mais au final il répond à l’attente de cet homme qui revoit enfin la lumière du jour, en échange, il lui offre ses pierres. Nous découvrons que notre ami porte une marque dans le dos, cela pourrait être la marque d’un criminel pur un crime odieux, difficile de savoir vraiment.
Dans les échanges que nous avons pour trouver un spécialiste pour l’armure, nous entendons parler d’un temple d’un prince inconnu qui serait remplis de richesse. Forcement cela attire notre curiosité et nous commençons à nous renseigner.
Un marchand du nom d’Ab Doubal Hakim nous propose de nous engager pour que nous trouvions ce temple et que nous ramenons les trésors. Forcément, une belle récompense nous sera donnée et il nous indiquera aussi comment trouver un forgeron d’orichalque.
Notre guide sera Aduma le brillant et son Abzoul Ka’ablack, le voyage sera surement mouvementé car la relation avec le guide n’a pas très bien débuté pour tous mes compagnons.
Je me rends compte que notre compagnon Hector est en fait un excellent guide et qu’il connait plutôt bien la région.
Et là, Helias est sollicité par un aveugle qui lui demande de lui rendre la vue, il dit être guidé par les pierres du destin, encore une découverte pour moi et mes compagnons.
Notre ami est tiraillé, mais au final il répond à l’attente de cet homme qui revoit enfin la lumière du jour, en échange, il lui offre ses pierres. Nous découvrons que notre ami porte une marque dans le dos, cela pourrait être la marque d’un criminel pur un crime odieux, difficile de savoir vraiment.
Dans les échanges que nous avons pour trouver un spécialiste pour l’armure, nous entendons parler d’un temple d’un prince inconnu qui serait remplis de richesse. Forcement cela attire notre curiosité et nous commençons à nous renseigner.
Un marchand du nom d’Ab Doubal Hakim nous propose de nous engager pour que nous trouvions ce temple et que nous ramenons les trésors. Forcément, une belle récompense nous sera donnée et il nous indiquera aussi comment trouver un forgeron d’orichalque.
Notre guide sera Aduma le brillant et son Abzoul Ka’ablack, le voyage sera surement mouvementé car la relation avec le guide n’a pas très bien débuté pour tous mes compagnons.
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Re: Tarek Al Abdin
Je vais essayer de résumer ce qu'il s’est passé, ce que mon instinct me dit c'est que nous sommes manipulés. Je suis sûr qu’une force obscure se sert de nous à des dessins néfastes et que libérer ce grand truc qui pue en était un.
Je n'ai pas confiance dans cette danseuse aussi, comme par hasard elle nous retrouve dans le désert, c'est quoi son intérêt ? Je suis sûr qu'elle fait partie d'un complot.
Mais revenons à notre expédition, nous étions censés trouver des trésors, des richesses et le savoir, on a surtout trouvé des ennuis.
Dans partons dans le désert, mené par Aduma, je dirais qu'au début tout se passe bien, même que c'est ennuyeux.
Mais rapidement, on se rend compte que Aduma à l'air perdu, comme si la route n'était plus visible par nos simples sens, c'est alors que Helias utilise ses pouvoirs pour nous éclairer et nous permettre de poursuivre notre chemin.
Le lendemain, après le bivouac, on aperçoit une tempête qui approche, elle a l'air assez violente et de nature magique.
Grâce à Hector, nous arrivons à sortir de cette tempête, je pense même à prendre les chameaux avec nous, mais étonnement, pas d'Aduma, il est passé ou celui-là ?
Devant nous, le spectacle est impressionnant, c'est une crevasse qui compose un vrai labyrinthe et au milieu, il semble y avoir le temple que nous recherchons.
Nous décidons donc de descendre et de poursuivre vers le centre, c'est assez dur et long et plusieurs fois le danger viens des éléments.
C'est alors que nous arrivons dans une ravine, comme s’ils sortaient des roches, quatre hommes bien armés et protégés se montrent, derrière eux, un autre homme, sa cape ondule autour de lui alors qu'il n'y a pas de vent. Il semble encore plus dangereux et mystérieux.
Nous échangeons quelques mots avec ces hommes, j'ai l'impression qu'ils ne nous prennent pas aux sérieux, comme si nous étions trop faibles pour arriver à pénétrer dans le temple.
Ils partent en nous souhaitons bonne chance, je pense que c'était du mépris.
Nous repartons vers le temple et quand enfin nous arrivons devant, l'homme mystérieux ce tiens devant nous.
Nous pourrons dire que c'est là que les soucis ont commencés.
Dire que nous l’avons combattu, ça serait mentir, on a essayé d’atteindre le temple et franchement, sans une intervention extérieure quasi divine, je pense que nous serions morts.
Ce combattant utilisait une magie très puissante et il était capable de se défendre et nous assaillir à une vitesse sur humaine. Notre sauveuse était de même nature que lui, sa flèche me rappelait quelque chose.
Une fois dans le temple, Hector nous informe que c’est très ancien, que cela ne correspond à aucune des civilisations qu’il connaît.
La suite ne fut pas une partie de plaisir, entre ce gouffre abyssal que nous avons dû passer grâce à une corde tendu et une porte titanesque qu’il a fallu ouvrir en brulant du bois, je dirais que c’était le plus simple.
Bien sûr cela serait trop facile si une créature de quatre mètres ne nous avait pas attaqué et blessé gravement Raina et Hector. Je pense que pour une fois, j’ai fait ce qu’on attendait de moi, j’ai tué cette chose. Sur ce moment, je ressens un peux de fierté, je me dis que je suis enfin utile au groupe.
Et là, plusieurs dizaines de ces créatures commencent à venir vers nous, franchement, une colonie qui habite ici et on le réveil. Notre seul chemin, c’est cette grande porte que nous passons et que nous réussissons à fermer.
Nous continuons notre chemin et on arrive encore à un escalier, il mène à une sorte de plateau ou d’autre escalier amène à des passages comme celui où nous sommes arrivées.
Est-ce la cupidité ou la magie qui nous à emmené à ce désastre, je ne serais le dire.
Ce qui est sûr, c’est que cette femme magnifique qui était devant le tombeau et qui nous à dit de l’ouvrir nous a emmener à notre perte.
La créature qui s’est formé avec la boue, la terre et cette odeur de pestilence doit être divine ou quelque chose du genre, nous nous sommes fait avoir.
Le temple n’est plus, nous avons libéré un monstre, je ne sais pas quoi penser de l’archère car elle nous a sauvé mais en même temps elle nous a permis de libérer cette chose.
Je n'ai pas confiance dans cette danseuse aussi, comme par hasard elle nous retrouve dans le désert, c'est quoi son intérêt ? Je suis sûr qu'elle fait partie d'un complot.
Mais revenons à notre expédition, nous étions censés trouver des trésors, des richesses et le savoir, on a surtout trouvé des ennuis.
Dans partons dans le désert, mené par Aduma, je dirais qu'au début tout se passe bien, même que c'est ennuyeux.
Mais rapidement, on se rend compte que Aduma à l'air perdu, comme si la route n'était plus visible par nos simples sens, c'est alors que Helias utilise ses pouvoirs pour nous éclairer et nous permettre de poursuivre notre chemin.
Le lendemain, après le bivouac, on aperçoit une tempête qui approche, elle a l'air assez violente et de nature magique.
Grâce à Hector, nous arrivons à sortir de cette tempête, je pense même à prendre les chameaux avec nous, mais étonnement, pas d'Aduma, il est passé ou celui-là ?
Devant nous, le spectacle est impressionnant, c'est une crevasse qui compose un vrai labyrinthe et au milieu, il semble y avoir le temple que nous recherchons.
Nous décidons donc de descendre et de poursuivre vers le centre, c'est assez dur et long et plusieurs fois le danger viens des éléments.
C'est alors que nous arrivons dans une ravine, comme s’ils sortaient des roches, quatre hommes bien armés et protégés se montrent, derrière eux, un autre homme, sa cape ondule autour de lui alors qu'il n'y a pas de vent. Il semble encore plus dangereux et mystérieux.
Nous échangeons quelques mots avec ces hommes, j'ai l'impression qu'ils ne nous prennent pas aux sérieux, comme si nous étions trop faibles pour arriver à pénétrer dans le temple.
Ils partent en nous souhaitons bonne chance, je pense que c'était du mépris.
Nous repartons vers le temple et quand enfin nous arrivons devant, l'homme mystérieux ce tiens devant nous.
Nous pourrons dire que c'est là que les soucis ont commencés.
Dire que nous l’avons combattu, ça serait mentir, on a essayé d’atteindre le temple et franchement, sans une intervention extérieure quasi divine, je pense que nous serions morts.
Ce combattant utilisait une magie très puissante et il était capable de se défendre et nous assaillir à une vitesse sur humaine. Notre sauveuse était de même nature que lui, sa flèche me rappelait quelque chose.
Une fois dans le temple, Hector nous informe que c’est très ancien, que cela ne correspond à aucune des civilisations qu’il connaît.
La suite ne fut pas une partie de plaisir, entre ce gouffre abyssal que nous avons dû passer grâce à une corde tendu et une porte titanesque qu’il a fallu ouvrir en brulant du bois, je dirais que c’était le plus simple.
Bien sûr cela serait trop facile si une créature de quatre mètres ne nous avait pas attaqué et blessé gravement Raina et Hector. Je pense que pour une fois, j’ai fait ce qu’on attendait de moi, j’ai tué cette chose. Sur ce moment, je ressens un peux de fierté, je me dis que je suis enfin utile au groupe.
Et là, plusieurs dizaines de ces créatures commencent à venir vers nous, franchement, une colonie qui habite ici et on le réveil. Notre seul chemin, c’est cette grande porte que nous passons et que nous réussissons à fermer.
Nous continuons notre chemin et on arrive encore à un escalier, il mène à une sorte de plateau ou d’autre escalier amène à des passages comme celui où nous sommes arrivées.
Est-ce la cupidité ou la magie qui nous à emmené à ce désastre, je ne serais le dire.
Ce qui est sûr, c’est que cette femme magnifique qui était devant le tombeau et qui nous à dit de l’ouvrir nous a emmener à notre perte.
La créature qui s’est formé avec la boue, la terre et cette odeur de pestilence doit être divine ou quelque chose du genre, nous nous sommes fait avoir.
Le temple n’est plus, nous avons libéré un monstre, je ne sais pas quoi penser de l’archère car elle nous a sauvé mais en même temps elle nous a permis de libérer cette chose.
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Re: Tarek Al Abdin
Bien des choses se sont passés depuis la traversée de ce désert.
Se rêve était saisissant de réalité, car je l’ai vécu. Cela remonte à plusieurs années, j’avais enfui ces souvenirs à l’intérieur de moi. Même celle qui était ma quête n’était qu’un vaste souvenir.
Comment ai-je pu l’oublier, celle pour qui je suis devenu celui qui se présente devant vous aujourd’hui.
J’ai fait cette traversée pour retrouver Shaïda, finalement, cela nous a permis de survivre.
Je me rappel de Cron, un cyclope qui m’avais sauvé de la mort certaine.
N’ayant plus d’eau n’y de moyen de transport, je guide mes amis vers sa caverne, malheureusement il n’est pas là.
Nous prenons à boire et à manger pour finir notre trajet jusqu'à Yasminabad.
En route, je retombe sur les 2 hommes qui allaient s’affronter, ou plutôt sur leurs cadavres et les 2 cimeterres qui les ont tués, chacun planté dans le corps de l’autre.
Je décidais de les enterrer, je pense qu’il méritait au moins cela. Il est vrai que j’avais suivis ma route la première fois, ne voulant pas perdre de temps comme me l’avait conseillé Cron. Mais là, j’avais un peu de temps et mes compagnons pour m’aider. Ce qui m’étonna, c’est leur souhait de prendre les deux cimeterres, pour les rendre bien sûr. Il y en avait un blanc et un autre plus noir, comme si la rouille l’avait attaqué, mais il était neuf en fait.
Nous poursuivons la route et nous arrivons enfin à Yasminabad. On apprend que la cité est composée de deux médinas, crée par les deux frères qui étaient amoureux de la même femme, Yasmina.
On retrouve une médina avec un pouvoir sacré et mystique et de l’autre côté un pouvoir princier et militaire. On sait aussi qu’il y a beaucoup de commerce et des choses assez étonnantes, comme la guilde des tisseurs de tapis volants ou les Djinns.
On apprend qu’il y a un climat assez violent dans le secteur, beaucoup de caravane se sont fait attaquer.
Nous allons rendre les cimeterres aux lames de regret fraternel. Ils nous remercient chaleureusement pour ce geste. Je pense que Hector à eu une très bonne idée.
Nous allons ensuite faire du commerce dans l’idée de nous équiper un peut. Le tapis est acheté, mais il nous a coûté beaucoup, je pense que Raïna a fait le maximum, mais nos fonds descendent.
Dans la soirée, en mangeant dans une taverne, nous apprenons qu’un marchant qui a perdu sa caravane cherche du monde pour l’aider à la retrouver. Il nous propose 10% de la valeur que nous ramènerons et nous acceptons. Nous profitons ensuite d’une bonne nuit de sommeil et allons voir les Djinns afin de découvrir leurs merveilles. Une magnifique machine tueuse de magie, un bouclier magique et autres objets nous sont proposés. Nos amis Hector et Helias s’équipe d’armure et de bouclier, pour ma part, je me demande si un cimeterre ne serait pas plus efficace que mes armes actuelles.
Se rêve était saisissant de réalité, car je l’ai vécu. Cela remonte à plusieurs années, j’avais enfui ces souvenirs à l’intérieur de moi. Même celle qui était ma quête n’était qu’un vaste souvenir.
Comment ai-je pu l’oublier, celle pour qui je suis devenu celui qui se présente devant vous aujourd’hui.
J’ai fait cette traversée pour retrouver Shaïda, finalement, cela nous a permis de survivre.
Je me rappel de Cron, un cyclope qui m’avais sauvé de la mort certaine.
N’ayant plus d’eau n’y de moyen de transport, je guide mes amis vers sa caverne, malheureusement il n’est pas là.
Nous prenons à boire et à manger pour finir notre trajet jusqu'à Yasminabad.
En route, je retombe sur les 2 hommes qui allaient s’affronter, ou plutôt sur leurs cadavres et les 2 cimeterres qui les ont tués, chacun planté dans le corps de l’autre.
Je décidais de les enterrer, je pense qu’il méritait au moins cela. Il est vrai que j’avais suivis ma route la première fois, ne voulant pas perdre de temps comme me l’avait conseillé Cron. Mais là, j’avais un peu de temps et mes compagnons pour m’aider. Ce qui m’étonna, c’est leur souhait de prendre les deux cimeterres, pour les rendre bien sûr. Il y en avait un blanc et un autre plus noir, comme si la rouille l’avait attaqué, mais il était neuf en fait.
Nous poursuivons la route et nous arrivons enfin à Yasminabad. On apprend que la cité est composée de deux médinas, crée par les deux frères qui étaient amoureux de la même femme, Yasmina.
On retrouve une médina avec un pouvoir sacré et mystique et de l’autre côté un pouvoir princier et militaire. On sait aussi qu’il y a beaucoup de commerce et des choses assez étonnantes, comme la guilde des tisseurs de tapis volants ou les Djinns.
On apprend qu’il y a un climat assez violent dans le secteur, beaucoup de caravane se sont fait attaquer.
Nous allons rendre les cimeterres aux lames de regret fraternel. Ils nous remercient chaleureusement pour ce geste. Je pense que Hector à eu une très bonne idée.
Nous allons ensuite faire du commerce dans l’idée de nous équiper un peut. Le tapis est acheté, mais il nous a coûté beaucoup, je pense que Raïna a fait le maximum, mais nos fonds descendent.
Dans la soirée, en mangeant dans une taverne, nous apprenons qu’un marchant qui a perdu sa caravane cherche du monde pour l’aider à la retrouver. Il nous propose 10% de la valeur que nous ramènerons et nous acceptons. Nous profitons ensuite d’une bonne nuit de sommeil et allons voir les Djinns afin de découvrir leurs merveilles. Une magnifique machine tueuse de magie, un bouclier magique et autres objets nous sont proposés. Nos amis Hector et Helias s’équipe d’armure et de bouclier, pour ma part, je me demande si un cimeterre ne serait pas plus efficace que mes armes actuelles.
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Re: Tarek Al Abdin
Compliqué de décrire ce que je ressens, car j’ai l’impression que je ne me reconnais pas.
Le premier homme que j’ai tué était notre tortionnaire, je l’avais fait pour Shaïda, pour nous et notre avenir. Mais finalement, j’ai l’impression que j’ai pris plaisir dans ce geste et qu’il est devenu comme une seconde nature chez moi.
Je pense que mon esprit c’est obscurci quand mon cœur c’est éteint de l’absence de Shaïda. En même temps c’est moi qui l’ai abandonné après ma traversée du désert des Djinns.
Ceux qui m’entoure me font réfléchir énormément sur ce que je suis et ce que les autres peuvent penser de moi.
Il y a d’abord Raïna, une femme accomplie, aussi belle que farouche dans le négoce, elle sait qui elle est et ce qu’elle veut. Elle utilise ses charmes pour obtenir ce qu’elle souhaite sans jamais tomber dans le vulgaire, une grâce et une élégance dans un gant de fer. Elle est tout le temps gentil avec moi et me rappel par moment Shaïda, ce qui me rend très protecteur avec elle.
Il y a Hector, un homme érudit qui a beaucoup voyagé et qui connais bien des choses. Je suis toujours étonné par ses connaissances et son savoir-faire, mais en même temps sa science du combat. Il est clair qu’il ne s’agit pas simplement d’un homme de science, mais aussi un homme qui a combattu et qui est fiable. J’aime ce genre de personne, car si le groupe arrive à avoir sa confiance, il sera surement près à donner sa vie pour nous.
Le dernier compagnon est Helias, un magicien je dirais, cela fait raccourci, mais c’est comme ça qu’il est perçu. C’est plus difficile de comprendre son fonctionnement et ce qu’il attend de notre association. Il est certes un héritier du dragon, mais ses croyances me sont inconnus. Il est clair qu’il est un élément essentiel de cette équipe et que sans lui, nous serions déjà tous mort. Mais quelquefois ses réactions ne sont pas comprises et cela entraine de la confusion entre nous.
Ce sont ces différentes expériences et ces échanges avec mes compagnons qui m’ont ouvert les yeux. Je me rends compte que je n’ai pas l’attirance habituel pour le vol, pour les richesses qui m’entourent, alors que le palais de ce prince était un nid de richesse. De plus, je suis sur qu’il est tellement riche que l’argent doit dormir et ne pas servir au peuple.
Il est clair que j’ai goût pour les combats, que le sang et l’assassinat ne me gêne pas du moment que ce soit juste et mon choix. Mais je me pose des questions sur mon affiliation aux enfants de Souk, car a pars Askir en qui j’avais vu un homme de valeur, ceux que j’ai rencontré depuis ne m’ont pas forcement montré une aura de confiance.
Certes, j’ai des talents pour chaparder, pour détrousser, pour prendre à autrui sans me faire voir, mais suis-je que cela ?
Surtout, je me considère comme quoi ? un voleur ? un tueur ? un homme de confiance ou un homme d’intérêt ? Il est difficile de savoir comment mes compagnons mes perçoivent.
Il est clair que je veux continuer à me battre, à défendre les injustices en récoltant des artefacts et de l’argent, car je ne veux plus jamais dépendre de riche personne qui feront de moi un esclave.
Je ne veux pas voir de jeune réduit en esclavage, utilisé pour les compétences et transformé en pion jetables.
Je pense qu’il faut que j’échange avec Raïna pour avoir son avis et pourquoi pas Hector et Helias pour avoir leur ressentis. J’aimerais apprendre des lames du regret fraternel et je pense que l’école Jilvar Aliblis serait une bonne voie pour moi.
Si mon signe était de combattre le mal, mais pas que sous sa forme humaine, de mettre mes talents d’héritier au service de mes compagnons, mais aussi de combattre tout ce mal qui nous entoure, d’éradiquer nos ennemis infernaux.
Je pense qu’il faut que je me penche sur cet voix, savoir si c’est mon avenir, car plus le temps passe et moins ma vie actuel me raccroche au présent.
Le premier homme que j’ai tué était notre tortionnaire, je l’avais fait pour Shaïda, pour nous et notre avenir. Mais finalement, j’ai l’impression que j’ai pris plaisir dans ce geste et qu’il est devenu comme une seconde nature chez moi.
Je pense que mon esprit c’est obscurci quand mon cœur c’est éteint de l’absence de Shaïda. En même temps c’est moi qui l’ai abandonné après ma traversée du désert des Djinns.
Ceux qui m’entoure me font réfléchir énormément sur ce que je suis et ce que les autres peuvent penser de moi.
Il y a d’abord Raïna, une femme accomplie, aussi belle que farouche dans le négoce, elle sait qui elle est et ce qu’elle veut. Elle utilise ses charmes pour obtenir ce qu’elle souhaite sans jamais tomber dans le vulgaire, une grâce et une élégance dans un gant de fer. Elle est tout le temps gentil avec moi et me rappel par moment Shaïda, ce qui me rend très protecteur avec elle.
Il y a Hector, un homme érudit qui a beaucoup voyagé et qui connais bien des choses. Je suis toujours étonné par ses connaissances et son savoir-faire, mais en même temps sa science du combat. Il est clair qu’il ne s’agit pas simplement d’un homme de science, mais aussi un homme qui a combattu et qui est fiable. J’aime ce genre de personne, car si le groupe arrive à avoir sa confiance, il sera surement près à donner sa vie pour nous.
Le dernier compagnon est Helias, un magicien je dirais, cela fait raccourci, mais c’est comme ça qu’il est perçu. C’est plus difficile de comprendre son fonctionnement et ce qu’il attend de notre association. Il est certes un héritier du dragon, mais ses croyances me sont inconnus. Il est clair qu’il est un élément essentiel de cette équipe et que sans lui, nous serions déjà tous mort. Mais quelquefois ses réactions ne sont pas comprises et cela entraine de la confusion entre nous.
Ce sont ces différentes expériences et ces échanges avec mes compagnons qui m’ont ouvert les yeux. Je me rends compte que je n’ai pas l’attirance habituel pour le vol, pour les richesses qui m’entourent, alors que le palais de ce prince était un nid de richesse. De plus, je suis sur qu’il est tellement riche que l’argent doit dormir et ne pas servir au peuple.
Il est clair que j’ai goût pour les combats, que le sang et l’assassinat ne me gêne pas du moment que ce soit juste et mon choix. Mais je me pose des questions sur mon affiliation aux enfants de Souk, car a pars Askir en qui j’avais vu un homme de valeur, ceux que j’ai rencontré depuis ne m’ont pas forcement montré une aura de confiance.
Certes, j’ai des talents pour chaparder, pour détrousser, pour prendre à autrui sans me faire voir, mais suis-je que cela ?
Surtout, je me considère comme quoi ? un voleur ? un tueur ? un homme de confiance ou un homme d’intérêt ? Il est difficile de savoir comment mes compagnons mes perçoivent.
Il est clair que je veux continuer à me battre, à défendre les injustices en récoltant des artefacts et de l’argent, car je ne veux plus jamais dépendre de riche personne qui feront de moi un esclave.
Je ne veux pas voir de jeune réduit en esclavage, utilisé pour les compétences et transformé en pion jetables.
Je pense qu’il faut que j’échange avec Raïna pour avoir son avis et pourquoi pas Hector et Helias pour avoir leur ressentis. J’aimerais apprendre des lames du regret fraternel et je pense que l’école Jilvar Aliblis serait une bonne voie pour moi.
Si mon signe était de combattre le mal, mais pas que sous sa forme humaine, de mettre mes talents d’héritier au service de mes compagnons, mais aussi de combattre tout ce mal qui nous entoure, d’éradiquer nos ennemis infernaux.
Je pense qu’il faut que je me penche sur cet voix, savoir si c’est mon avenir, car plus le temps passe et moins ma vie actuel me raccroche au présent.
Re: Tarek Al Abdin
Donc tu souhaites tout, ou presque, laisser tomber au profit de l'exploration d'une nouvelle parole potentielle ?
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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Re: Tarek Al Abdin
Je pense abandonné la voix des enfants du souk en effet, plus orienté sur une voix de guerrier, mais aussi discret et capable de s'infiltrer.RossVell a écrit :Donc tu souhaites tout, ou presque, laisser tomber au profit de l'exploration d'une nouvelle parole potentielle ?
Comme me l'a dit hector, ça donnerais un groupe assez costaud :
Un guerrier très discret, le premier à aller au combat ou en infiltration.
Un excellent magicien, souvent en retrait mais pouvant tout faire ou faire tout.
Une diplomate, combattante et un peu magicienne et qui prends en priorité la parole pour le groupe.
Un savant, médecin, guide et explorateur.
Re: Tarek Al Abdin
Si tu cherches une voie type assassin il n'y en a pas. Celle qui se rapproche le plus d'un combattant de l'ombre est plus une sorte de garde du corps habituer plutôt a com battre les assassins.
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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Re: Tarek Al Abdin
Non, pas forcement assassin, mais un bon combattant qui peux aussi faire de l'infiltration, je pense que les écoles de yasminabad pourrait être intéressante, ou alors je me trompe totalement
Je ne connais pas le contenu des paroles, donc il est très difficile de savoir ce qui convient ou pas.
Je le fais plus au ressenti et comment s'oriente Tarek
Je ne connais pas le contenu des paroles, donc il est très difficile de savoir ce qui convient ou pas.
Je le fais plus au ressenti et comment s'oriente Tarek
Re: Tarek Al Abdin
Perso je pense que coté infiltration tu es déjà pas mal bon non ? Du coup une voie plus combattante effectivement comme semble le proposer celles de yasminabad pourrait être pas mal, car d’après ce que j'ai vu tu t'orientes effectivement plus vers un véritable combattant.
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Re: Tarek Al Abdin
Je pense que Houbal a voulu me mettre à l'épreuve et me rappeler ce que je suis et qui je sers.
Je suis un enfant du Souk, un Takeride qui doit servir les siens.
Etre un hériter du dragon ne fait pas et je suis peu être tombé dans la facilité.
Je suis entouré de ceux que j'ai choisi comme compagnon et je ne pourrais pas espérer meilleurs compagnons dans ma vie.
Mais je dois aussi me recentrer sur ce que je sais faire, sur ce que la vie à voulu que je fasse.
Je dois arrêter de me voiler la face, je suis un assassin et j’excelle dans cet art qui est de tuer.
Certes, je choisi mes cibles et il m'est déjà arrivé de décliner un contrat car la cible n'était pas une ordure selon mon jugement.
Le fait d'avoir côtoyer Hector et Helias m'a fait beaucoup réfléchir car ils ont une conceptions différentes de ce que j'ai appris.
Avec Raina, je me rend compte que même si j'essaye de la protéger elle n'a pas forcement besoin de moi même si nous sommes associés dans les affaires.
Je pense qu'il faut que je laisse mon honneur de côté desfois afin de faire ce que je sais faire de mieux, c'est à dire tuer nos ennemis, ceux qui vont contre la volonté des héritier du dragon.
Les semaines que nous avons passés à chassés ces objets qui ont envoûtés les musiciens me montre que mon jugement n'est pas toujours le bon et que je dois écouter mes compagnons un peux plus.
Et ce dernier combat et ces derniers jours ont étés une épreuve aussi bien en moi que dans mes capacités.
Si Helias arrive à me soigner, ce que je ne doute pas, il faudra que j'utilise à bon escient mes talents et que j'arrête de voir la vie en noir.
Je suis un enfant du Souk, un Takeride qui doit servir les siens.
Etre un hériter du dragon ne fait pas et je suis peu être tombé dans la facilité.
Je suis entouré de ceux que j'ai choisi comme compagnon et je ne pourrais pas espérer meilleurs compagnons dans ma vie.
Mais je dois aussi me recentrer sur ce que je sais faire, sur ce que la vie à voulu que je fasse.
Je dois arrêter de me voiler la face, je suis un assassin et j’excelle dans cet art qui est de tuer.
Certes, je choisi mes cibles et il m'est déjà arrivé de décliner un contrat car la cible n'était pas une ordure selon mon jugement.
Le fait d'avoir côtoyer Hector et Helias m'a fait beaucoup réfléchir car ils ont une conceptions différentes de ce que j'ai appris.
Avec Raina, je me rend compte que même si j'essaye de la protéger elle n'a pas forcement besoin de moi même si nous sommes associés dans les affaires.
Je pense qu'il faut que je laisse mon honneur de côté desfois afin de faire ce que je sais faire de mieux, c'est à dire tuer nos ennemis, ceux qui vont contre la volonté des héritier du dragon.
Les semaines que nous avons passés à chassés ces objets qui ont envoûtés les musiciens me montre que mon jugement n'est pas toujours le bon et que je dois écouter mes compagnons un peux plus.
Et ce dernier combat et ces derniers jours ont étés une épreuve aussi bien en moi que dans mes capacités.
Si Helias arrive à me soigner, ce que je ne doute pas, il faudra que j'utilise à bon escient mes talents et que j'arrête de voir la vie en noir.
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Re: Tarek Al Abdin
J’ai l’impression que note vie n’est qu’un perpétuel combat.
Quand nous avons finis de régler un souci à un endroit, un autre vient nous frapper, comme si notre destinée était manipulée.
Il y a d’abord ce général que nous avons tué, Julius Antonius, un renégat Agalanthéens qui a pris une légion avec lui et pris possession d’un Oasis.
Ce combat fut très rude, car sans les talents d’Hector pour accaparer les coups, je pense que je serais mort, mon bras s’en rappel très bien.
J’ai eu la chance qu’Hélias puisse faire appel à sa magie pour me remettre en entier.
Plusieurs fois, que ce soit lors de ce combat ou plus tard avec la caravane, nous avons entendu parler de Espinoi Quintus, un homme qui serait responsable des Agalanthéens à Fragrance.
Après quelques jours de repos, nous voici repartis vers Fragrance avec la caravane qui transporte les marchandises du marchand que nous avons sauvé du désastre économique. Bon, soyons clair, il y a aussi notre paye dedans et je ne compte pas laisser partir cet argent. Nous en avons profité aussi pour investir et Raïna à misé sur les dattes.
On sait qu’il y a des activités de brigand et de pillards dans le coin, plus que d’habitude. Les gens sont plutôt inquiets et sur le qui-vive.
Lors de nos moments libres, nous faisons la connaissance d’une femme âgée qui se nomme Nabila. Elle est assez déconcertante, car elle a l’air vieille, un peu perdu, mais en même temps avec une force intérieure ou spirituelle.
Dès que Hector lui dit que nous sommes des héritiers du dragon, la relation change et elle nous dit en avoir connu. En tout cas, c’est comme si elle nous cachait quelque chose.
Forcément c’étais trop calme pour être vrai, le soir, pendant notre garde, on entend un grand bruit et à quelque mètre de nous, un chariot s’écrase, comme projeté par une force invisible.
Au final, quand nous arrivons à l’endroit où était le chariot, c’est un Dabbat que nous trouvons, encore un.
Forcement avec Hector, nous allons combattre la créature avant qu’elle ne rase la caravane.
Le combat est assez étonnant, car des éléments extérieurs s’y mêlent. Entre des chariots en feu, Helias qui prend la foudre et nous pensons Nabila qui nous a soigné, ce fu chaotique. Le principal, le Dabbat est mort et nous avons évité un grand massacre.
Hector nous apprend qu’il a vu au moins une ombre fuir dans les dunes, un magicien ?
Nous prenons des nouvelles de Nabila et nous échangeons avec elle. Elle nous apprend qu’elle avait la garde de deux enfants qui se sont fait enlever. Deux jumeaux du nom de Sephar et Shadee. Il avait un pendentif en leur possession, comme Nabila. Ils se trouveraient à Al Baqdir.
Nous décidons donc de partir à la rescousse de ces enfants en laissant la caravane entre de bonnes mains, puisque des soldats Agalanthéens se sont proposés de l’escorter.
AU bout de 2 jours, nous affrontons une violente tempête de sable qui nous oblige à rentrer dans une caverne pour nous abriter.
Tout est beigné par une lumière comme artificiel, c’est assez surprenant. Nous nous enfonçons dans cette grotte, dans les tréfonds du monde.
Dans cette nouvelle salle, de riche peinture sont visibles, même si le temps les a un peux effacées.
Sur une des peintures, une magnifique femme tient une chaîne, mais on ne sait pas ce qu’il y a au bout.
Sur une autre, cette femme est entourée de Djinns qui ont l’air de la taper avec des sabres.
Encore une autre, ou la femme riposte et tue ses adversaires.
Encore une autre ou on la voit fuir dans le désert et la dernière ou on voit une belle Djinn, une créature ailée et un dragon.
Ça évoque à notre ami Hectore l’histoire Saabi, la guerre entre les Djinns et Marduk et la créature ailée serait Djad.
C’est assez fou quand même, nous partons pour faire du commerce et nous voila à la poursuite de brigand qui ont enlevés deux enfants en compagnie d’une femme qui ne sait plus trop qui elle est.
Le fait de tomber sur la caverne me parait suspect, comme si elle nous avait emmener la pour nous expliquer quelque chose et pourquoi pas nous dire que c’est elle la femme sur les peintures.
Serait-elle un Djinn ? un être magique ou autre chose ?
Quand nous avons finis de régler un souci à un endroit, un autre vient nous frapper, comme si notre destinée était manipulée.
Il y a d’abord ce général que nous avons tué, Julius Antonius, un renégat Agalanthéens qui a pris une légion avec lui et pris possession d’un Oasis.
Ce combat fut très rude, car sans les talents d’Hector pour accaparer les coups, je pense que je serais mort, mon bras s’en rappel très bien.
J’ai eu la chance qu’Hélias puisse faire appel à sa magie pour me remettre en entier.
Plusieurs fois, que ce soit lors de ce combat ou plus tard avec la caravane, nous avons entendu parler de Espinoi Quintus, un homme qui serait responsable des Agalanthéens à Fragrance.
Après quelques jours de repos, nous voici repartis vers Fragrance avec la caravane qui transporte les marchandises du marchand que nous avons sauvé du désastre économique. Bon, soyons clair, il y a aussi notre paye dedans et je ne compte pas laisser partir cet argent. Nous en avons profité aussi pour investir et Raïna à misé sur les dattes.
On sait qu’il y a des activités de brigand et de pillards dans le coin, plus que d’habitude. Les gens sont plutôt inquiets et sur le qui-vive.
Lors de nos moments libres, nous faisons la connaissance d’une femme âgée qui se nomme Nabila. Elle est assez déconcertante, car elle a l’air vieille, un peu perdu, mais en même temps avec une force intérieure ou spirituelle.
Dès que Hector lui dit que nous sommes des héritiers du dragon, la relation change et elle nous dit en avoir connu. En tout cas, c’est comme si elle nous cachait quelque chose.
Forcément c’étais trop calme pour être vrai, le soir, pendant notre garde, on entend un grand bruit et à quelque mètre de nous, un chariot s’écrase, comme projeté par une force invisible.
Au final, quand nous arrivons à l’endroit où était le chariot, c’est un Dabbat que nous trouvons, encore un.
Forcement avec Hector, nous allons combattre la créature avant qu’elle ne rase la caravane.
Le combat est assez étonnant, car des éléments extérieurs s’y mêlent. Entre des chariots en feu, Helias qui prend la foudre et nous pensons Nabila qui nous a soigné, ce fu chaotique. Le principal, le Dabbat est mort et nous avons évité un grand massacre.
Hector nous apprend qu’il a vu au moins une ombre fuir dans les dunes, un magicien ?
Nous prenons des nouvelles de Nabila et nous échangeons avec elle. Elle nous apprend qu’elle avait la garde de deux enfants qui se sont fait enlever. Deux jumeaux du nom de Sephar et Shadee. Il avait un pendentif en leur possession, comme Nabila. Ils se trouveraient à Al Baqdir.
Nous décidons donc de partir à la rescousse de ces enfants en laissant la caravane entre de bonnes mains, puisque des soldats Agalanthéens se sont proposés de l’escorter.
AU bout de 2 jours, nous affrontons une violente tempête de sable qui nous oblige à rentrer dans une caverne pour nous abriter.
Tout est beigné par une lumière comme artificiel, c’est assez surprenant. Nous nous enfonçons dans cette grotte, dans les tréfonds du monde.
Dans cette nouvelle salle, de riche peinture sont visibles, même si le temps les a un peux effacées.
Sur une des peintures, une magnifique femme tient une chaîne, mais on ne sait pas ce qu’il y a au bout.
Sur une autre, cette femme est entourée de Djinns qui ont l’air de la taper avec des sabres.
Encore une autre, ou la femme riposte et tue ses adversaires.
Encore une autre ou on la voit fuir dans le désert et la dernière ou on voit une belle Djinn, une créature ailée et un dragon.
Ça évoque à notre ami Hectore l’histoire Saabi, la guerre entre les Djinns et Marduk et la créature ailée serait Djad.
C’est assez fou quand même, nous partons pour faire du commerce et nous voila à la poursuite de brigand qui ont enlevés deux enfants en compagnie d’une femme qui ne sait plus trop qui elle est.
Le fait de tomber sur la caverne me parait suspect, comme si elle nous avait emmener la pour nous expliquer quelque chose et pourquoi pas nous dire que c’est elle la femme sur les peintures.
Serait-elle un Djinn ? un être magique ou autre chose ?
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Re: Tarek Al Abdin
Ces dernières semaines ont étés plutôt compliqués.
Que ce soit à Fragrance ou à Carassine, nous sommes toujours confronté à des complots, à des personnes avides de pouvoir.
Certes, je ne suis qu'un assassin, mais mon rôle dans cet univers reste à être définis.
Je pense que nous avons toujours essayé de faire le bien, même si desfois des innocents mort par notre faute.
Je me demande encore si j'avais été plus adroit ou moins sanguins si ces hommes sur le bateau serait vivant.
Mes compagnons doivent me trouver extrême dans mes agissements ou mes propos, mais je ne veux plus vivre esclave, ce que j'ai connu a failli me détruire et je ne me laisserais plus jamais enchaîner.
Ce que nous vivons est très fort et je pense que les liens que j'ai avec ces compagnons, je ne l'aurais avec personne d'autre. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser à Shaïda, surtout que l'assassin que j'ai tué à Carassine a eu l'air de réagir à ce prénom, mais je ne saurais jamais.
La suite va être compliqué car nous sommes à la merci de ces pirates et sans magie pour nous aider.
Que ce soit à Fragrance ou à Carassine, nous sommes toujours confronté à des complots, à des personnes avides de pouvoir.
Certes, je ne suis qu'un assassin, mais mon rôle dans cet univers reste à être définis.
Je pense que nous avons toujours essayé de faire le bien, même si desfois des innocents mort par notre faute.
Je me demande encore si j'avais été plus adroit ou moins sanguins si ces hommes sur le bateau serait vivant.
Mes compagnons doivent me trouver extrême dans mes agissements ou mes propos, mais je ne veux plus vivre esclave, ce que j'ai connu a failli me détruire et je ne me laisserais plus jamais enchaîner.
Ce que nous vivons est très fort et je pense que les liens que j'ai avec ces compagnons, je ne l'aurais avec personne d'autre. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser à Shaïda, surtout que l'assassin que j'ai tué à Carassine a eu l'air de réagir à ce prénom, mais je ne saurais jamais.
La suite va être compliqué car nous sommes à la merci de ces pirates et sans magie pour nous aider.
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Re: Tarek Al Abdin
Je ne sais pas comment nous allons nous en tirer cette fois ci, mais je pense que nous sommes encore manipuler.
Les pirates nous ont vendus comme esclave à un homme qui cherchais des gladiateurs.
Il est clair que lorsque nous sommes ensemble, nous représentons une force considérable et je pense que ceux qui essayent de manipuler notre destin l'ont compris.
Nous avons combattu dans l'arène, contre nos semblables et des animaux tout ca pour connaitre ceux qui méritaient de représenter notre "maître" dans le colisée.
Nous avons réussi a survivre aux différentes épreuves et plusieurs contacts ont étés établis pendant les jours de détentions.
Le plus marquant est cette femme Galana qui discute avec Hector de leur "groupe" les hetiade.
Je ne suis pas a l'aise avec ces "cercles" et regroupement d'héritier du dragon pour faire le "bien".
En tout cas, si on veut sortir vivant d'ici il faudra aller à l'arène de Tereme.
Mes actes sont peut être mal compris, peuvent semblés desfois dangereux, mais quand une personne tente de s'évader alors que je suis sur que cela n'est pas faisable, ben, non, je ne peux pas le laisser se faire prendre et porter le danger sur les autres esclaves.
Oui, endormir une personne contre son gré est un acte malveillant, mais cela évite souvent un mort voir plus.
Nous avons survécu avec quelques autres gladiateurs et nous sommes parties pour Tereme, pour les jeux.
C'est en chemin que c'est devenu vraiment bizarre, je m'attendais à un voyage calme, qu'on allait gagner notre liberté dans l'arène, mais non, le destin encore souhaite jouer contre nous.
Nous avons vu Consos recevoir une boite d'inconnu et dans cette il s'avérait qu'il y avait comme des grosses anguilles, des saloperies de créatures magiques, très résistante et qui voulaient prendre possession de notre corps.
Nous avons réussi à les tuer grâce à la magie de Helias et nous nous sommes enfuis.
Nous avons rencontré un homme, ou plutôt un demi dragon, il se nome Teresias, un grand magicien.
Il nous a emmené à Tereme grâce à sa magie.
Le soucis et pourquoi ce choix, c'est que grâce aux vers, nous avons vu ce qu'il voulait faire :
Approché l'homme au masque (l'archonte de Tereme) et le sacrifier sur le rocher sphérique (œuf dragon) à ses côtés, sang versé lors des jeux.
Nous sommes voir ce "cercle" et avons rencontré leur chef, Simnia, un sois disant prophète.
Il nous parle de la guerre entre Sosie et le Dieu Jason.
On apprend que c'est un ancien du cercle qui a volé l'Œuf, un dénommé Palins Primus Nomus. Un général proche du pouvoir, on a du surement lui promettre le trône à celui la.
On pourra se fier à Baranelle, le responsable de la garde impérial.
On nous parle aussi des dieux sinueux, une entité qui serait du lac, lié au culte de Pelsus.
On a donc plusieurs choix, soit on enquête sur ces dieux sinueux et on va dans leur temple pour voir ce qui se passe, soit on va voir l'archonte pour tout lui raconte, soit on attend pour agir.
Il y a aussi la question de Sosie ou comme par hasard, ce soit disant prophète ne sait rien dessus et pourquoi il avait un œuf dragon, il compte en faire quoi ?
Les pirates nous ont vendus comme esclave à un homme qui cherchais des gladiateurs.
Il est clair que lorsque nous sommes ensemble, nous représentons une force considérable et je pense que ceux qui essayent de manipuler notre destin l'ont compris.
Nous avons combattu dans l'arène, contre nos semblables et des animaux tout ca pour connaitre ceux qui méritaient de représenter notre "maître" dans le colisée.
Nous avons réussi a survivre aux différentes épreuves et plusieurs contacts ont étés établis pendant les jours de détentions.
Le plus marquant est cette femme Galana qui discute avec Hector de leur "groupe" les hetiade.
Je ne suis pas a l'aise avec ces "cercles" et regroupement d'héritier du dragon pour faire le "bien".
En tout cas, si on veut sortir vivant d'ici il faudra aller à l'arène de Tereme.
Mes actes sont peut être mal compris, peuvent semblés desfois dangereux, mais quand une personne tente de s'évader alors que je suis sur que cela n'est pas faisable, ben, non, je ne peux pas le laisser se faire prendre et porter le danger sur les autres esclaves.
Oui, endormir une personne contre son gré est un acte malveillant, mais cela évite souvent un mort voir plus.
Nous avons survécu avec quelques autres gladiateurs et nous sommes parties pour Tereme, pour les jeux.
C'est en chemin que c'est devenu vraiment bizarre, je m'attendais à un voyage calme, qu'on allait gagner notre liberté dans l'arène, mais non, le destin encore souhaite jouer contre nous.
Nous avons vu Consos recevoir une boite d'inconnu et dans cette il s'avérait qu'il y avait comme des grosses anguilles, des saloperies de créatures magiques, très résistante et qui voulaient prendre possession de notre corps.
Nous avons réussi à les tuer grâce à la magie de Helias et nous nous sommes enfuis.
Nous avons rencontré un homme, ou plutôt un demi dragon, il se nome Teresias, un grand magicien.
Il nous a emmené à Tereme grâce à sa magie.
Le soucis et pourquoi ce choix, c'est que grâce aux vers, nous avons vu ce qu'il voulait faire :
Approché l'homme au masque (l'archonte de Tereme) et le sacrifier sur le rocher sphérique (œuf dragon) à ses côtés, sang versé lors des jeux.
Nous sommes voir ce "cercle" et avons rencontré leur chef, Simnia, un sois disant prophète.
Il nous parle de la guerre entre Sosie et le Dieu Jason.
On apprend que c'est un ancien du cercle qui a volé l'Œuf, un dénommé Palins Primus Nomus. Un général proche du pouvoir, on a du surement lui promettre le trône à celui la.
On pourra se fier à Baranelle, le responsable de la garde impérial.
On nous parle aussi des dieux sinueux, une entité qui serait du lac, lié au culte de Pelsus.
On a donc plusieurs choix, soit on enquête sur ces dieux sinueux et on va dans leur temple pour voir ce qui se passe, soit on va voir l'archonte pour tout lui raconte, soit on attend pour agir.
Il y a aussi la question de Sosie ou comme par hasard, ce soit disant prophète ne sait rien dessus et pourquoi il avait un œuf dragon, il compte en faire quoi ?
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Re: Tarek Al Abdin
Tu n'es donc pas à l'aise avec nous-même ?Je ne suis pas a l'aise avec ces "cercles" et regroupement d'héritier du dragon pour faire le "bien".
En effet, tout comme les Enfants de la Vérité ou Etyad, nous sommes nous aussi un "cercle", un regroupement d'héritiers pour faire le (ou une sorte de) "bien".
La seule chose qui nous différencie d'eux, c'est que nous sommes moins organisés et n'avons pas un but très précis pour notre "confrérie", mais sinon nous sommes a peu près pareil
Pourquoi faire aujourd'hui ce qu'on peut remettre à demain ?
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Re: Tarek Al Abdin
Ce qui diffère pour nous c'est qu'on essaye de pas de faire penser aux autres ce que l'ont pensent