La complainte de Missy
Posté : 17/11/2019 à 22:21
Séances du 8 Novembre 2019
Nous allons dans une taverne du quartier nommée le Poney Miteux.
Un homme vient nous voir. il tremble beaucoup, se sert plusieurs verre. Il cherche des gens pour une affaire. Il est assez bien habillé, comme un commerçant, il n'a pas l'air d'un voleur mais d'un travailleur.
Il a besoin de nous pour récupérer une forte somme dans une maison peu gardée, il nous propose de partager les gains, qui pourraient s’élever à plusieurs milliers de Cou.
Il est pressé, il veut l'argent après-demain.
Le casse doit se dérouler chez un petit bourgeois dans le vieux Beige, un quartier un peu bourgeois de Bejofa.
Notre commanditaire nous dit que dans la maison vivent deux servantes, un majordome, un chien et le maître de maison, un bourgeois.
On va faire un repérage tout de suite, en début de nuit. La maison à deux étages est entourée d'un petit jardin derrière un mur de vieilles pierres de 2m de haut. Il y a un portail devant et une porte arrière qui à l'air de ne pas pouvoir fermer complètement.
Dans un coin du jardin il y a un poulailler qui contient de la volaille qui pourrait faire du bruit.
Le lendemain on va enquêter. Je vais poser des questions sous couvert de vendre mes potions.
Nous apprenons que la maison appartient à Daniel Estrange, bourgeois ventripotent qui possède un comptoir de luxe et de négoce de vins fins, il y a bien 4 personnes dans la demeure.
Les domestiques sont assez âgés. Il y a Roger le majordome jardinier, Carlita la femme de ménage et Marguerite la cuisinière. Le chien va rarement dehors.
La maison n'a pas l'air sous la protection des Félins ou autre milice et son propriétaire ne semble pas bosser directement pour les Félins.
Airy va sur le quai devant le commerce de notre commanditaire. Impossible de savoir quelle est son activité exacte.
Airy essaye de négocier du matériel de perçage de coffre auprès du nain qui a une échoppe au coin de notre rue, mais sans succès.
Ensuite Kash, qui sait lire, va à son tour dans la boutique et se rend compte qu’il s’agit d’un commerce d'équipements de sécurité et que le nain est donc un peu l'ennemi des voleurs.
Kash va quand même négocier la location de matériel de perçage de coffre et ressort bien équipé pour 22 Cou
À la nuit tombée on entre discrètement dans le jardin de Daniel Estrange en sautant le mur
Airy crochète une fenêtre et on entre dans sa demeure. On n'entend rien de particulier.
On visite le rdc. Je vois des tableaux de valeur et des objets d'arts authentiques mais disparates.
Le tout vaudrait 200 Cou.
À l'étage, Derry égorge le caniche qui dormait dans son panier.
Sous l'oreiller, Derry trouve une chaussette contenant 200 Cou.
Dans le bureau, il y a un coffre qui à l'air difficile à ouvrir. Airy n'arrive pas à le percer. Soudain, un gaz incolore et inodore se répand dans la pièce et endort Airy et Derry.
En bas, il n’y a personne et je barbote pour 20 Cou de babioles.
Au bout de 15 min on monte mais on n'entend pas un bruit. Dans le bureau, on voit les corps des nos compagnons au sol. Nous nous faisons surprendre au même moment par le même gaz soporifique.
Nous nous réveillons solidement ligotés dans une cave sordide sans fenêtre avec un escalier qui monte.
Airy est presque sûr que le gaz n'était pas un piège mécanique
Impossible de se libérer et après une demi heure trois hommes arrivent, l'un est Daniel Estrange, un autre est borgne, athlétique, très grand et baraqué et le 3ème à une aura malsaine, athlétique, brun aux yeux bleu, le regard mauvais, un numélorien, plutôt un ancien marin
Le numélorien sort sa dague et s'approche Kash.
J'essaye de détourner son attention, mais il veut savoir pour qui on travaille.
Airy lui décrit notre commanditaire, ce qui énerve Daniel qui parle de lui comme « cet enfoiré d'Alain » et qui tremble de rage.
Au moment où Daniel et ses sbires allaient m'égorger, la trappe de la cave s'ouvre et un homme descend.
Il est plutôt bien habillé, Derry le reconnaît, c'est David ???, le préfet de jour,
Il interpelle Daniel pour parler de quelque chose d'important.
Profitant de ce répit inattendu, j'essaye de séduire mon agresseur mais celui-ci semble insensible à mes charmes et ma tentative maladroite semble même lui déplaire
Le préfet revient vers nous. Son beau père (Daniel) est en affaire avec, notre commanditaire, un certain Alain Selmac, à qui il a commandé un bateau de nouvelle génération capable de distancer les bateaux des douaniers. Selmac n'a toujours rien livré depuis un an et le contrat arrive à échéance très bientôt.
Le clergé d'Arlam (contre la science) à pris connaissance de ce projet et risque de trouver des traces d'hérésie dans le bateau et remonter sur les traces de Daniel.
En échange de notre vie sauve, il nous demande d'aller chez Selmac et de récupérer tout document reliant le bateau à Daniel et, si possible, retrouver le bateau en échange d'une prime. On a trois jours avant que le clergé n’investisse les locaux de Selmac.
On est libéré au petit matin mais ils gardent ma besace avec mes herbes dedans et nous adjoint l'acolyte borgne pour nous surveiller.
On va à l'entrepôt de Selmac qui ressemble à un atelier naval qui débouche sur le fleuve.
La base du bâtiment est en brique et le haut et le toit sont en bois. Sur le côté il y a une cheminée d'usine en fonctionnement, ce qui n'est pas typique. Il y a quelques cheminées d'aération dans le toit. Il y a une grande cloison coulissante en bois sur le côté qui s'ouvre bruyamment.
Il y a beaucoup d'ouvriers dedans. A l'arrière il y a une petite porte grand ouverte la journée avec un garde qui contrôle les entrées et sorties des ouvriers. Des gardes font des rondes autour du bâtiment. Dans l'atelier il y a une forge. Il y a une troupe importante de garde qui se relayent.
De 8h à 16h il y a 6 gardes, dont 3 où 4 dedans.
De 16h à minuit, il y a une nouvelle équipe de 6 gardes et quelques ouvriers et Selmac.
De minuit à 8h une autre équipe de gardes mais pas d'ouvriers. Les gardes de nuit sont moins alertes.
Alain Selmac semble être tout le temps là.
On réfléchit pour savoir si on prend Selmac en otage ou si on élimine les gardes de nuit un par un.
Nous allons dans une taverne du quartier nommée le Poney Miteux.
Un homme vient nous voir. il tremble beaucoup, se sert plusieurs verre. Il cherche des gens pour une affaire. Il est assez bien habillé, comme un commerçant, il n'a pas l'air d'un voleur mais d'un travailleur.
Il a besoin de nous pour récupérer une forte somme dans une maison peu gardée, il nous propose de partager les gains, qui pourraient s’élever à plusieurs milliers de Cou.
Il est pressé, il veut l'argent après-demain.
Le casse doit se dérouler chez un petit bourgeois dans le vieux Beige, un quartier un peu bourgeois de Bejofa.
Notre commanditaire nous dit que dans la maison vivent deux servantes, un majordome, un chien et le maître de maison, un bourgeois.
On va faire un repérage tout de suite, en début de nuit. La maison à deux étages est entourée d'un petit jardin derrière un mur de vieilles pierres de 2m de haut. Il y a un portail devant et une porte arrière qui à l'air de ne pas pouvoir fermer complètement.
Dans un coin du jardin il y a un poulailler qui contient de la volaille qui pourrait faire du bruit.
Le lendemain on va enquêter. Je vais poser des questions sous couvert de vendre mes potions.
Nous apprenons que la maison appartient à Daniel Estrange, bourgeois ventripotent qui possède un comptoir de luxe et de négoce de vins fins, il y a bien 4 personnes dans la demeure.
Les domestiques sont assez âgés. Il y a Roger le majordome jardinier, Carlita la femme de ménage et Marguerite la cuisinière. Le chien va rarement dehors.
La maison n'a pas l'air sous la protection des Félins ou autre milice et son propriétaire ne semble pas bosser directement pour les Félins.
Airy va sur le quai devant le commerce de notre commanditaire. Impossible de savoir quelle est son activité exacte.
Airy essaye de négocier du matériel de perçage de coffre auprès du nain qui a une échoppe au coin de notre rue, mais sans succès.
Ensuite Kash, qui sait lire, va à son tour dans la boutique et se rend compte qu’il s’agit d’un commerce d'équipements de sécurité et que le nain est donc un peu l'ennemi des voleurs.
Kash va quand même négocier la location de matériel de perçage de coffre et ressort bien équipé pour 22 Cou
À la nuit tombée on entre discrètement dans le jardin de Daniel Estrange en sautant le mur
Airy crochète une fenêtre et on entre dans sa demeure. On n'entend rien de particulier.
On visite le rdc. Je vois des tableaux de valeur et des objets d'arts authentiques mais disparates.
Le tout vaudrait 200 Cou.
À l'étage, Derry égorge le caniche qui dormait dans son panier.
Sous l'oreiller, Derry trouve une chaussette contenant 200 Cou.
Dans le bureau, il y a un coffre qui à l'air difficile à ouvrir. Airy n'arrive pas à le percer. Soudain, un gaz incolore et inodore se répand dans la pièce et endort Airy et Derry.
En bas, il n’y a personne et je barbote pour 20 Cou de babioles.
Au bout de 15 min on monte mais on n'entend pas un bruit. Dans le bureau, on voit les corps des nos compagnons au sol. Nous nous faisons surprendre au même moment par le même gaz soporifique.
Nous nous réveillons solidement ligotés dans une cave sordide sans fenêtre avec un escalier qui monte.
Airy est presque sûr que le gaz n'était pas un piège mécanique
Impossible de se libérer et après une demi heure trois hommes arrivent, l'un est Daniel Estrange, un autre est borgne, athlétique, très grand et baraqué et le 3ème à une aura malsaine, athlétique, brun aux yeux bleu, le regard mauvais, un numélorien, plutôt un ancien marin
Le numélorien sort sa dague et s'approche Kash.
J'essaye de détourner son attention, mais il veut savoir pour qui on travaille.
Airy lui décrit notre commanditaire, ce qui énerve Daniel qui parle de lui comme « cet enfoiré d'Alain » et qui tremble de rage.
Au moment où Daniel et ses sbires allaient m'égorger, la trappe de la cave s'ouvre et un homme descend.
Il est plutôt bien habillé, Derry le reconnaît, c'est David ???, le préfet de jour,
Il interpelle Daniel pour parler de quelque chose d'important.
Profitant de ce répit inattendu, j'essaye de séduire mon agresseur mais celui-ci semble insensible à mes charmes et ma tentative maladroite semble même lui déplaire
Le préfet revient vers nous. Son beau père (Daniel) est en affaire avec, notre commanditaire, un certain Alain Selmac, à qui il a commandé un bateau de nouvelle génération capable de distancer les bateaux des douaniers. Selmac n'a toujours rien livré depuis un an et le contrat arrive à échéance très bientôt.
Le clergé d'Arlam (contre la science) à pris connaissance de ce projet et risque de trouver des traces d'hérésie dans le bateau et remonter sur les traces de Daniel.
En échange de notre vie sauve, il nous demande d'aller chez Selmac et de récupérer tout document reliant le bateau à Daniel et, si possible, retrouver le bateau en échange d'une prime. On a trois jours avant que le clergé n’investisse les locaux de Selmac.
On est libéré au petit matin mais ils gardent ma besace avec mes herbes dedans et nous adjoint l'acolyte borgne pour nous surveiller.
On va à l'entrepôt de Selmac qui ressemble à un atelier naval qui débouche sur le fleuve.
La base du bâtiment est en brique et le haut et le toit sont en bois. Sur le côté il y a une cheminée d'usine en fonctionnement, ce qui n'est pas typique. Il y a quelques cheminées d'aération dans le toit. Il y a une grande cloison coulissante en bois sur le côté qui s'ouvre bruyamment.
Il y a beaucoup d'ouvriers dedans. A l'arrière il y a une petite porte grand ouverte la journée avec un garde qui contrôle les entrées et sorties des ouvriers. Des gardes font des rondes autour du bâtiment. Dans l'atelier il y a une forge. Il y a une troupe importante de garde qui se relayent.
De 8h à 16h il y a 6 gardes, dont 3 où 4 dedans.
De 16h à minuit, il y a une nouvelle équipe de 6 gardes et quelques ouvriers et Selmac.
De minuit à 8h une autre équipe de gardes mais pas d'ouvriers. Les gardes de nuit sont moins alertes.
Alain Selmac semble être tout le temps là.
On réfléchit pour savoir si on prend Selmac en otage ou si on élimine les gardes de nuit un par un.