Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

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Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par RossVell »

C'est ici qu'Arnaud de Laincourt, le capitaine des lames engrange les informations sur ses lames.

Voici les informations dont il dispose pour le moment :

Xipehuz : Saltimbanque / Forban niveau de vie : Pauvre Contact : 3 Arcanes bénies : l'assassin sans visage et l'architecte des mondes

Stein : Noble / Courtisan niveau de vie : riche contact : 0 Arcanes bénies : Le jongleur indéci / La magicienne sous le voile

Bg_Gb : Savant / Officier niveau de vie : aisé contact : 1 Arcanes bénies : le gentilhomme au corbeau / le chevalier au dragon

Asarius : Médecin / Commerçant niveau de vie : aisé contact : 1 Arcanes bénies : La demoiselle de la tour/ le pélerin immobile

Vinnica : Fine lame / Espion niveau de vie : Commun contact : 2 Arcanes bénies : Le guerrier immortel / Le maître d'arme au flambeau

Vinnica 2 : Libertine / Mousquetaire : niveau de vie : Commun contact : 2 Arcanes bénies : L'alchimiste des ombres


Voilà ce que Laincourt souhaiterait savoir pour le moment :
- Votre nom
- Comment vous voyez vos archétype exactement (surtout pour le savant, le forban, le saltimbanque, la fine lame, le commerçant dont le champs mérite d'être précisé pour se faire une meilleur idée de l'historique) (pour rappel le premier archétype est le plus récent, juste avant d'être recruté chez les Lames, l'autre est plus ancien).
- Votre origine géographiqu
- un nom de Pnj qui vous est chèr et éventuellement sa relation par rapport à vous (parent, frère, soeur, enfant, ami, amant, ) Indépendant des contacts.
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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xipehuz
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par xipehuz »

Pascal Antoine FIORELLA
24 ans.
Voici, brièvement détaillée, mon histoire (en tout cas, telle que je la raconte à ceux qui me posent des question ;) )
Je suis Corse, fils de bourgeois.
Après une jeunesse calme et studieuse, mon père, qui souhaitait que je reprenne la gestion de ses affaires, commença à me faire participer de plus en plus souvent à ses expéditions commerciales.
Un jour, le bateau dans lequel je naviguais avec mon père a été arraisonné par des pirates barbaresques.
Mon père fut tué et moi fait prisonnier.
Après un an d'esclavage au service d'Ali Bitchin, Grand Amiral d'Alger, je réussis à m'enfuir et à regagner les côtes méditerranéennes.
Depuis mon évasion, je parcours les routes et gagne ma pitance comme saltimbanque, jongleur et acrobate.
J'apprécie cette vie de bohème après une année de dure captivité.
Elle me permet de voyager et de trousser des jupons, mais aussi de découvrir ce beau pays de France que je ne connais que par les histoires que l'on me racontait étant petit et les livres que j'ai lu.
Mais maintenant que je suis à Paris, il est temps pour moi de passer à des activités plus sérieuses.
J'ai donc accepté d'abandonner cette vie sans soucis pour me consacrer au service de la France.

Je recherche à reprendre contact avec ma soeur, Marguerite Grimaldi, Marquise de Régusse, épouse de Charles Grimaldi de Régusse, qui vient d'être nommé (ou le sera bientôt) Président à mortier du Parlement de Provence.

Quand à cette rumeur malfaisante qui m'accuse d'être un ancien forban elle est, bien sûr, totalement infondée :ange:
Pourquoi faire aujourd'hui ce qu'on peut remettre à demain ?
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vinnica
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par vinnica »

Voici le personnage de Marie:

MARIA FARUSSIO :

Marsia Farussio est née en 1625 à Venise, fille de Pietro, cordonnier, et de Maria, comédienne.
Les vingt premières années, je les ai passées dans le milieu de ma mère, elle m'a façonnée. Je joue la comédie, je me maquille et je me déguise, j’ai lu tous les livres d'aventures, je manie l'épée ou l'éventail avec la même dextérité et bien sûr je n'ai raté aucun Carnaval.
Mon père désespère de me marier à une bonne famille et je n'y tiens pas, je préfère m'entrainer au combat à l'épée ou la rapière en virevoltant ou encore jouer les galantes dans les salons des plus beaux palais vénitiens.

Lors de l’une de mes nombreuses soirées libertine, j’ai fait la connaissance d’un individu tout à fait paradoxal : l’évêque San Verrezano. Cet homme d’Eglise était à la fois réellement pieu, dévoué à la chrétienté, mais aussi très attaché aux plaisirs humains ! Durant de nombreuses soirées nous avons appris à nous découvrir et à nous faire confiance, partageant quelques-uns de nos secrets tous les deux.
Jusqu'au jour où lors d'un des inoubliables carnavals, l’Evêque San Verrezano me présente une personne déguisée en loup, qui me glisse un billet et disparait. Ce billet m'invite à rejoindre une adresse discrète à Venise. Diable, que d’énigme...............ma curiosité est piquée et je n'ai rien d'autre à faire (si ce n'est de m'éclater toute la nuit dans les rues bondées de Venise).

Je rejoins le lieu du rendez-vous, un peu sur mes gardes, et prête à en découdre si nécessaire. C'est le loup qui m'accueille et m’explique que la pape Urbain VIII souhaite me rencontrer, qu’il a entendu parlé de moi et de mes nombreux talents, notamment mon charme et ma perspicacité.
Une fois à Rome, je fais la connaissance du pape, qui me fait l’honneur de me recevoir personnellement dans une antichambre de son palais. Après avoir mis mes compétences à l'épreuve, il me demande d’accompagner l'un de ses « messagers » à Paris. Mon rôle est de laisser trainer mes oreilles dans les cercles libertins de France, endroit peu accessible en général aux religieux. Il m'adresse également une lettre de recommandation pour le cardinal Richelieu si d'aventure les choses devaient tourner mal.
Une fois à Paris, après avoir œuvrée quelques temps, l'homme de confiance du pape que j’accompagnais repart vers Rome. Je décide alors de rester en France, pays bien plus libre de l'influence draconique que Venise et de faire valoir ma lettre de recommandation auprès du cardinal. Celui-ci me fait entrer dans sa garde où je profite de peaufiner ma technique martiale avec quelques maitres d’armes pratiquant l’école italienne.
A la mort il y a quelques mois de richelieu, alors que son successeur Mazarin reforme l'unité d'élite des lames du cardinal, je suis recrutée pour en faire partie.

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Modifié en dernier par vinnica le 21/04/2014 à 17:56, modifié 5 fois.
asarius
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par asarius »

Bonjour,

Je suis Edmond Rostand, je vais vous parler un peux de moi à travers cet écrit.
Je suis né à Paris, dans le quartier de la manufacture.
Mes parents sont Louis et Catherine, des personnes plutôt aisées.
Mon père est commerçant et sa spécialité est le commerce des herbes, quelque soit le type d’herbe alors que ma mère est une sage femme.
Mon père n’est pas toujours présent car il fait du commerce avec l’Angleterre et les royaumes avoisinant.
Mes parent mon mis dans une excellente école à Paris, mais en plus mon père m’a payé des cours d’escrimes car il considère qu’un gentilhomme doit pouvoir se défendre.
Quand à ma mère, elle m’a expliqué les rudiments des premiers soins, je trouve ca plutôt agréable.

Dés que j’ai l’âge, mon père accepte de me prendre avec lui sur les routes afin de m’apprendre les bases du négoce, mais aussi les langues des contrées traversées.
Je sais que mon père avait dans l’idée que je reprenne son commerce.
Mon père décéda quand j’avais 23 ans, il fessait affaire avec des commerçant espagnols pour de nouvelles herbes. Je ne sais pas trop les conditions de sa mort et cela est encore flou aujourd’hui.
Avec du recul je me dis qu’à chaque fois qu’il fessait ce type de voyage, il me chargeait de m’occuper d’une autre affaire ou alors de prendre soins de ma mère.
Je ne l’avais pas accompagné car je travaillais avec un commerçant anglais et ami de la famille, Sir Charles Konwell.
C’est lui qui m’aidera à continuer les affaires à la mort de mon père et qui me servira de figure paternel.
Je suis devenu très ami avec le chef de la guilde des commerçants, Edmond De Preville, il sera un contact régulier pour les affaires.

Ca sera lui qui me trouvera un cadeau hors du commun, un dragonnet. Je sais qu’Edouard s’en veux car c’est lui qui avait trouvé le négoce pour mon père.
Mais Catherine est tombée malade alors que j’arrive sur mes 24 ans et il est hors de question que je perde ma dernière famille.
Je me suis surement leurrer et je n’ai pas vu les prémisses de son mal et maintenant que j’y réfléchis, c’est évident que son mal c’est aggravé après le décès de mon père.

J’ai donc fait le choix d’apprendre de manière plus soutenu la médecine, en laissant les affaires de la famille dans les mains de François Bauger, soutenu et conseiller par notre ami de famille Sir Charles Konwell
.
Par chance, le mal de ma mère c’est à nouveau apaisé, de pars mes études, je commence à me rendre compte que ma mère est atteinte de la Rance, à l’un des stades de départ, pas encore contagieux.

Cela fut difficile, mais un soir j’amenais la conversation au repas avec ma mère. Celle-ci m’avoua que mon père rapportait de certains de ses voyages des concoctions à base de Jusqiame dorée. Elle m’apprit aussi que Charles était au courant et que depuis la disparition de mon père il s’arrangeait pour lui en fournir, toutefois, il s’agissait de la jusquiame et non du remède que mon père ramenant.

Aujourd’hui, je peux vous dire que la Jusquiame est dangereuse, mais elle permet parfois, sans que l’on sache vraiment pourquoi de stopper la progression de la Ranse.

Par contre, je ne sais toujours pas ou se fournissait mon père, qui l’a tué.

Catherine est enfin sur pied et le fait de l’avoir sauvé m’a fait comprendre que sauver des vies étaient plus important plus que l’argent.

J’ai pris un peux peur quand un certains Capitaine Laincourt est venu à mon domicile me remettre une lettre, mais à la lecture de celle-ci, je comprends mieux et c’est un honneur pour moi que je rejoindre les Lames et de mettre mes compétences au service de la France.
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vinnica
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par vinnica »

Petite mise à jour du personnage de marie..
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vinnica
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par vinnica »

ALOÎS DESTREMONT

Aloïs Destremont, né en 1618, est le fils d’Eloi et Céleste Destremont. Eloi était le Maréchal Ferrand du maréchal Antoine Coëffier-Ruzé, marquis d’Effiat, un ami proche de Richelieu. Aloïs a passé toute son enfance à faire les 400 coups avec le Fils du Marquis, Henri, au château d’Effiat en Auvergne. Tous les deux ils s’amusaient à courir et grimper partout, à chaparder tout ce qu’ils pouvaient, à espionner les grands et même à profiter de certains des petits secrets qu’ils pouvaient découvrir. Aloïs était l’ainée d’Henri de 2 ans, et du coup représentait une sorte de grand frère pour le futur Marquis de « Cinq Mars ».

En 1632 le Cardinal Richelieu pris le jeune Henri sous sa protection après la mort du père de ce dernier. Aloïs suivit alors Henri à la cour du roi Louis XIII et devint rapidement l’homme du confiance, l’espion mais aussi l’homme d’arme du jeune Marquis de « Cinq-Mars ». Cinq-Mars fut rapidement nommé Grand Maître de la garde-robe, Premier écuyer puis Grand écuyer de France ; Louis XIII lui offrit également le comté de Dammartin. Aloïs côtoyait alors les grands de France, mais toujours dans l’homme du Marquis. Rapidement il réussit à obtenir de nombreuses informations capitales pour son ami mais néanmoins maitre, mais aussi réussit quelques faits d’armes pour « Cinq-Mars ».

Lors de ses agissements pour le Marquis, Aloïs rencontra une courtisane de la cour, nommée Marion Delorme. Il tomba immédiatement amoureux d’elle et eurent tous les deux une aventure courte mais intense. Aloïs resta ensuite fidèle à son amie, étant toujours prêt à l’aider ou lui rendre service.
Marion l’aida même à convaincre Richelieu qui avait décelé en Aloïs un très fort potentiel, de lui permettre d’intégrer l’Académie des Maitres d’Armes de Paris. Aloïs y passât plusieurs années à parfaire son art de l’escrime à la Française, devenant même rapidement l’un des meilleurs bretteurs de Paris.

Lorsque le vent tourna pour la Marquis de « Cinq-Mars », et qu’il perdit la confiance de Richelieu, Aloïs resta la encore fidèle tout de même à son ami d’enfance et essaya de le protéger jusqu’au dernier moment. Hélas Aloïs ne put empêcher l’arrestation et la décapitation de « Cinq-Mars » en septembre 1642 à la suite du complot qu’il avait fomenté contre Richelieu avec le soutien des Espagnols.
Alois faillit passer quelques temps en prison, mais la mort de Richelieu en décembre 1642 lui sauva la mise. Il fut alors contacté par la Capitaine Arnaud de Laincourt pour intégrer les célèbres Lames du Cardinal, Cardinal Mazarrin !

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xipehuz
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par xipehuz »

Voici quelques images de Pascal Antoine FIORELLA

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stein
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par stein »

Gilles Guillemot, Baron de Bourbon Lancy :

Née au coeur de la bourgogne dans une famille de riches négociants en vin, connus pour leur manque de scrupules et de sentiments dans leur manière de traiter leurs affaires. Pour ainsi dire plus craints que réellement respectés, plus d'un petit propriétaire de vignes s'est vu spolier ses terres et ramené au rang de simple métayer, par simple caprice ou tout simplement parce qu'il osait contester les prix anormalement bas auquel on lui rachetait sa production, pourtant souvent revendue à prix d'or à leurs riches clients amateurs et connaisseurs. Ajoutons à cela que fourberies afin de s'accaparer les bien de cousins voire même de frères sont loin d'être inhabituelles

Fort de la fortune amassée au fil des générations par ses ainés, Gilles n'a connu lors de ses 25 premières années que plaisirs dilettantes, attendant que son tour vienne de prendre la succession de son père. C'est ainsi qu'il partagait son temps entre parties de chasse dans les forêts environnantes, banquets et entrainement au noble art de l'escrime auprès de son maître d'italien Pietro Galbasini, certes désormais agé mais dont les conseils et l'expérience lui ont permis de passer maître dans cet exercice. Bien des compagnons d'entraînement de Gilles en gardent d'ailleurs de douloureux souvenirs, que d'ailleurs leurs cicatrices leur rappellent chaque jour.
Certes il aurait pu ainsi suivre sa vie toute tracée et perpétuer la tradition familiale mais Gilles était encore plus ambitieux que ses aïeux. Car à quoi bon avoir la fortune sans le pouvoir qu'on peut en attendre, quitte à se confronter à un milieu où de toute façon il ne serait pas dépaysé car manigances et tromperies faisaient d'ores et déja partie de son quotidien.

C'est ainsi qu'il quitta à l'aube de sa 26ème année le confortable domaine où il avait vécu toute sa vie pour un hôtel particulier à Paris, profitant de chaque occasion pour se rapprocher chaque jour un peu plus de la cour du roi . Bien évidemment dans sa démarche sa fortune et les banquets arrosés de breuvages d'exception qui'il organisait étaient autant d'atouts dans ses manoeuvres. Et cela va sans dire que nombre de nobliaux pensant profiter de cet parvenu de province furent pris à leur propre jeu tant il était rompu depuis son plus jeune âge aux duperies et ce sans éprouver le moindre sentiment, son propre intérêt prévalant sur toute autre chose.
Mais si cette attitude lui valût bien des inimitiés elle lui attira en même temps de soutiens inattendus. Ce fut le cas notamment des proches du Cardinal qui voyant en ce jeune homme une telle froideur dans ses actes , masquée par sa capacités à dissimuler ses manigances derrière une apparente bonhommie, sans jamais oublier ses objectifs et motivations.

C'est donc tout naturellement qu'après quelques années son accession au titre tant espéré de Baron de la ville dont il était originaire lui fut facilité par ses nouveaux amis, lesquels le recommandèrent d'ailleurs à Arnaud de Laincourt lorque celui-ci se mit en quête de fines lames pour reconstituer les Lames du Cardinal. Bien qu'hésitant à accepter la proposition de son maître d'armes, seule personne en qui il a une réelle confiance, il mettra sa rapière à leur service. Nul doute qu'à cette occasion lui germe en lui l'idée que cela constitue une nouvelle opportunité de voir sa destinée grandir encore. Ah qu'il est désormais loin le bourgeois de province dont la seule influence était le fief commercial autour de sa riche demeure !
Du sang ! Du Sang ! Je veux du sang !
RossVell
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par RossVell »

Il se passera plusieurs mois, sans doute presque une année entre la fin du scénario et le début de la campagne.

Je vous invite a songer a la manière dont vos persos ont mis a profit ces mois pour faire fructifier leurs contacts.

Pour rappel les points d'unite et d'xp servent aussi a acheter des niveaux avec vos contacts.
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vinnica
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par vinnica »

de la part de Marie:
Je viens juste d'apprendre qu'un an se sera écoulé avant nos prochaines aventures.

Mais dans un premier temps il y a des choses que j'aimerais faire lors de notre retour en France avec Tchache. Je voulais vous proposer qu'on lui masque les yeux afin d'étudier si sœur roxanne voyait toujours à travers ses yeux, et étudier cette histoire de lien mystique et essayer de savoir s'il y avait quelqu'un d'autre derrière cela et en contact avec la soeur et tchache. Enfin le fait que les yeux soit bandés nous permettait de ramener tchache dans un lieu secret à paris afin d'essayer de savoir pourquoi il tient tant à ce qu'on le ramène dans la capital et d'éviter que quelqu'un de mal intentionné qui pourrait voir à travers les yeux de tchache ne sache où il est.

Durant cette année j'aimerais premièrement renforcer mes deux contacts à savoir la comédienne MadeleineBejart et la tenancière du cercle de jeux que je fréquente régulièrement. Deuxièmement, j'aimerais faire un voyage au Vatican pour une audience auprès du pape et resserrer mes liens avec l'entourage du pape Urbain VIII afin de glaner un maximum d'informations sur la politique menée par le Vatican, notamment avec l'Espagne. "
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Re: Les lames du cardinal, qui sont-elles ?

Message par asarius »

Pour la période de transition, je souhaite la mettre à profit pour plusieurs choses.
La première, c'est apprendre à connaître la guilde des herboriste et tisser des liens avec elle (contact à 2 : 3 xp)
Ensuite, j'aimerais retourner voir le drake blanc pour échanger avec lui sur la rance, demander si il peut m'apprendre des choses.
Et si le temps me le permet, travailler sur les potions et la formule de Tchats sur l'explosif
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