[T-UW] Journal de bord

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xipehuz
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par xipehuz »

Le Marquis va pas être content que tu l'ais rétrogradé au rang de Baron :kenny:
Pourquoi faire aujourd'hui ce qu'on peut remettre à demain ?
Azénor
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par Azénor »

RossVell a écrit :- la journalope qui ne nous lâche pas et qui a été mandatée pour filmer le voyage du Baron.
Zut, flute, crotte ! Je suis scandalisée d'apprendre que ce cafard va continuer à nous suivre... A croire que quelqu'un voudrait s'acharner sur nous ! :mrgreen:
RossVell
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

L’équipage est professionnel et chacun effectue sa tâche rapidement afin d’en apprendre un peu plus sur l’agent pathogène que nous trimballons dans nos organismes et que nous avons détecté grâce à l’indisposition de l’ambassadrice Wargh. Au final ce petit coup de pouce pour la mettre en contact avec notre médecin de bord aura au moins servit à cela.
La chose est dans l’eau, toute l’eau. Impossible de savoir si l’eau a été contaminée exprès ou si c’est l’eau en provenance de Leedor qui est comme cela. Quoi qu’il en soit, le médecin nous informe qu’il n’y a rien de dangereux. C’est étrange mais au final rassurant.


L’équipage et moi même arrivons à la conclusion que le trio de noble dont la présence intrigue est à bord pour une affaire concernant le fil du Duc, et qu’ils cherchent visiblement à obtenir quelque chose du Marquis, qui n’est pas encore décidé à leur donner. Tout cela est bien mystérieux. J’en fait part amicalement à Bérésie.


Lors de nos réflexions sur divers sujets, assez brutalement, je demande à mes officiers s’ils acceptent que je fasse évader l’un des prisonniers. Je réponds à quelques unes de leurs questions, assez évasivement pour certaines, leur cachant notamment que je sais qu’il est un activiste violent et qu’il faisait partie de l’unité Psy dans laquelle j’ai oeuvré. Ils acceptent tous de m’aider. Je ne sais toutefois pas encore si j’irais jusqu’au bout. J’ai terriblement envie de l’avoir à mes côtés, de pouvoir être moi-même avec quelqu’un qui me connaît. D’un autre côté je suis en total désaccord avec la violence aveugle. C’est compliqué.


Pour s’occuper l’esprit nous préparons la soirée casino et j’autorise les officiers à participer. L’avenir me dira que je n’aurais pas du céder et maintenir le règlement que j’avais mis en place justement pour éviter tout ce qui arriva dan la soirée : des esclandres.

Les officiers ne savent pas se tenir. L’alcool aidant, l’aide de camp de l’ambassadrice Wargh s’en prend physiquement à Vourvz, le met au sol, le moque et se ridiculise se faisant. Notre médecin, une fois relever veux riposter. Je m’interpose, la fouine aussi, mais mal lui en prends puisqu’il se prend un mauvais coup involontaire d’un des aliens. L’ambassadrice ne sait plus où se mettre et je lui propose par la suite de passer cette nuit dans ma cabine.

Plus tard, Samira éclate lorsqu’elle aperçoit le responsable de la sécurité du Marquis faire un prélèvement à son fils Qutaïba. Heureusement que Gvoudzon tempère l’altercation et réussit à la déporter dans un espace hors de vue et d’écoute des passagers. L’énervement passé, le statu quo se présente. La fouine est convaincu qu’il ment en prétendant n’avoir rien fait d’autre que d’enlever un insecte sur son épaule. Les éléments collecté font que nous sommes certains, mais la diplomatie et le commerce font que nous ne pouvons aller plus loin sur le sujet sans créer une crise qui ne serait bonne pour personne à bord.


La soirée aura été plus lucrative que je ne le pensais. Nous allons avoir de quoi investir pour la suite et espérer sortir de cette ligne commerciale sans intérêt. Nous empôchons l’équivalent d’une dizaine de cargo.


Nous avons eu l’occasion d’examiner et faire des analyses sur un cheveux de la jeune fille Katarina pour découvrir qu’elle semble humaine, même si une détérioration volontaire de la structure du cheveu ne nous permets pas d’en apprendre plus.
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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xipehuz
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par xipehuz »

Merci beaucoup. :amen:
Figurez-vous que, suite à une erreur de manip lors de l'enregistrement du fichier, j'ai perdu mes notes de la dernière séance. :oops: :cry:
Vous ne m'en voudrez donc pas trop si je vous raconte des trucs pas cohérents lors de la prochaine séance :o
En même temps, ça va pas vous changer des masses non plus ... :ange: :dehors:
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RossVell
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Ce voyage inaugural n’aura pas été aussi agréable que je l’avais espéré. Sans doute de nombreuses erreurs de casting dans la suite du Marquis. Des personnalités détestables, des secrets, de la prétention...A noter quelques incidents provoqués en partie par la présence de notre médecin Wargh, déclenchant la jalousie chez l’aide de camp de l’ambassadrice. Provoqués aussi par la présence parmi les passages de Qutaïba et de sa nouvelle copine et de leurs jeux d’enfants.

Si l’équipage avait respecté les consignes que l’on mis en place, sans doute que tout cela aurait été évité, ou en tout cas grandement minimisé. Certains ne sont tous simplement pas fait pour cotoyer des gens en société.

Quelques travas avec l’officier de sécurité du Marquis un peu trop fouineur.

Au final mettre sur pied un plan d’évasion pour Ryan aura été bien inutile puisqu’ils avaient eux mêmes anticiper cette situation en s’implantant des dispositifs pour se réveiller ce Cryogénie.


La grand soirée casino aura portée ses fruits, bien au-delà des mes espérances. Cela compense t-il vraiment les désagréments que tout cela nous aura causer sur Aramis. Sans doute nous faudra t-il revoir notre communication et baser cela sur la détente et les récréations plutôt que sur l’hyper luxe. La clientèle sera sans doute plus agréable que ces poulets de nobles.


Contraint de changer nos plans par la force des choses, nous discutions avec les 3 prisonniers issus des corps Psy. La jeune anomalie les a repéré, mais aussi le responsable de la sécurité. Hors de question de nous en tenir au plan visant à faire passer Ryan pour moi. J’ai même du effacer la mémoire de la scientifique et du roquet du Marquis que nous avions appeler lorsque les caissons chauffaient.


Non vraiment après une discussion avec eux, je ne suis plus du tout convaincu qu’ils méritent d’être aidés. Ils n’ont que la vengeance et la violence en tête. Rien de constructif ne sortira de tout cela. Je décide donc de convaincre l’équipage, les officiers en tout cas d’intervenir et de maîtriser tout ce petit monde pour les remettre aux autorités qui en disposera.


Les événements ont mal tournés. Ils sont tous morts. Le chien a tué Ryan...non pas tué...assassiné. C’est une bête sauvage, un meurtrier...J’ai du abattre celui qui était inconscient...il fallait bien que quelqu’un le fasse….


Qu’ils aillent tous se faire foutre, Marquis, Zodanie, comploteurs et journaliste de bas étage. Docteur et ingénieur, voleur émissaire et autre névrosé paranoïaque…

Qu’ils aillent se faire foutre...il est mort et un peu de moi avec lui. Jamais je n’avais partagé de lien aussi intense qu’avec mes hommes et c’était une chance d’en retrouver un en vie, surtout lui….Misérable bête sauvage….
Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons,
il y a suffisement de cons que l'on prend pour des gens.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par Erawpalassalg »

Y'en a un qui va passer de bons moments, je sens...
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RossVell
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Une chose est certaine c’est que je vais bien mieux maintenant. J’en prend conscience lorsque je regarde les protocoles abérants que j’avais mis en place dans le vaisseau. En revanche que personne n’est réagit m’inquiète un peu. Quoi qu’il en soit l’opération de Vourvz c’est bien passé, il a pu récupérer sa vision au travers d’un œil cybernétique plutôt bien amélioré. Sa sœur, l’ambassadrice Warg a prit en carge le module de base et l’opération. Tout comme elle a prit en charge la remise à neuf du casino dans le Beluga, saccagé par une meute de Warg alcoolisée conduite par son aide de camp Raoul Horn (le frère de mike).

Mon opération a elle été visiblement un peu plus compliquée. Mes capacités et l’équipement militaire ont posé quelques soucis à l’équipe médicale à bord du vaisseau du fils du Duc. Mais rien d’insurmontable.


Nous avons passé un marché avec Ulrika Bazérou, arrangeuse d’affaire locale, en concurence avec notre agent habituel qui semble faire passer sa relation avec Tukéra avant sa neutralité d’affaire. Nous avons accepter de livrer deux cargo de ravitaillement à l’attention de mineurs de la ceinture d’astéroïde d’un système à deux parsec d’ici. En échange elle nous fournit rapidement nos robots mécanos issu du démentellement d’un transport Tukéra que nous avons payé avec une partie des marchandises offertes par le Marquis. Elle nous offre également ce réservoir démontable dont nous avions parler plusieurs fois entre nous pour nous extraire de notre trajet habituel. Nous sommes enfin aux portes de la nouveauté.


Remis sur pied, nous décidons d’aller à la chasse au chien du désert pour pouvoir fournir au dogdoc les glandes dont il a besoin pour la culture et ses recherches sur leurs propriétés régénérante. Nous ne sommes pas super équipés et cela s’avère être un peu compliqué. Nous reviendrons le lendemain avec du matériel pour capturer plusieurs spécimens en plus du blessé que nous ramenons ce premier jour.


Je cherche dans les équipages en périphérie de l’astroport pour nous procurer des armes pour cette chasse. Je trouve mon bonheur auprès du Sergent Tourneboule, ou Turnbull je ne sais pas très bien, du vaisseau le « Fer de lance ». Visiblement un équipage de mercenaire. Il accepte de se séparer d’une caissette de grenades et de mines incapacitantes en échaneg de quelques crédits et d’un service. Il me demande de ramener un homme recherché dans le système vers lequel nous partons sous peu. L’homme s’avèrera être une sorte de discident politique, ou un terroriste ou je ne sais quoi. Il faudra éclaircir cela. Quoi qu’il en soit il est recherché la bas et n’a pas de papiers. Je l’informerai avant l’embarquement que j’ai convenu avec le sergent de, sans doute, le déposer sur un astéroïde minier pour qu’il se débrouille. Il semble que le sergent ne lui avait pas transmis cette information, ce n’est pas mon problème. Nous aurons l’occasion de faire sa connaissance pendant le trajet, peut-être l’aiderons nous plus. Il sera logé dans une des cabines sans en sortir.

C’est d’autant plus important que parmis les passagers que notre session de publicité dans les bars et restaurants, se trouve une demie douzaine d’élève officier de la police du système de destination. Ainsi que 13 membres de la secte de Krontz qui paye rubis sur l’ongle pour y aller également, visiblement désireux de quitter au plus vite cet endroit.


J’ai visiblement quelques soucis avec l’amélioration de mon tatouage. Ses fonctionnalités de camouflage sont perturbés lorsque je me concentre pour utiliser mes capacités. Il faut que je travaille un peu sur cela.

Cela me fait penser que je n’ai dit à personne le deal que j’ai passé avec le fils du Duc pour l’opération de Vourvz et la mienne. J’ai accepté que mon tatouage serve de messager pour lui, sans savoir ni quand ni pour qui cela se déclenchera. Il a juste préciser que cela pourrait être problématique pour moi le moment venu.


Pour conclure, j’ai fais signer son contrat d’hôtesse à Bérésie qui accepte finalement mon invitation à nous rejoindre à bord. Je ne sais pas ce qui m’a passé par la tête pour faire cela, mais je crois que cela fera plaisir à Yaroslav.

Les Cargos sont embarqués, la réparation de la citerne faite, le casino refait à neuf, le réservoir auxiliaire installé, nous sommes sur le départ pour quitter cette route insipide….
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Un dernier soucis avant de quitter le système, comme d’habitude...Un contrôle douanier, par des élèves douaniers...ajoutés à ceux de la police du système de destination, nous sommes gâtés avec les bleus. J’ai la présence d’esprit de vérifier que les animaux de laboratoire que nous avons prélevés dans l’écosystème de Natoko n’était pas protégés d’une manière ou d’une autre et que nous avions toute légitimité à en transporter . Bien évidement...nous n’avions pas le droit. On parle aussi de l’homme recherché dans le système voisin qui est dans notre vaisseau ?

Il aura fallu un effort particulier de nos hôtesses et de moi-même, ainsi que la promesse d’un transport gratuit lors de notre prochain passage faite au responsable de l’équipe des douanes pour nous tirer de ce problème en devenir.

Je pense qu’il est inutile de appesantir plus sur l’évênement avec les adeptes de Krontz, réfractaire à la fouille des douanes et qui ont fait « vibrer » le vaisseau. Il semblerait que tout cela était plus dans nos têtes qu’ailleurs puisque les capteurs n’enregistrent rien.


Le vol d’éloignement se passe bien, jusqu’à ce le leader des Krontzien me demande un détour pour aller admirer la géante gazeuse avant de partir. Rien à redire, un petit détour de quelques heures, rien de bien méchant…Enfin...jusqu’à ce que l’on retrouve Qtaïba dans ses bras, les mains collés à la baie panoramique et que Gvoudzon signale avoir des difficultés à maintenir la trajectoire à cause de perturbation gravitationnelle inexpliquées. A la demande de sa mère, je vais me saisir de Qtaïba et là...le black out. Tout le monde ou presque dans le vaisseau tombe inconscient, en tout cas tous ceux qui était à ce niveau. Encore une fois, aucun enregistrement des capteurs de cette « explosion » que nous avons tous ressenti. Je suis affirmative, rien de psychique la dedans. Les videos de surveillance nous montre le jeune Darien quitter sa cabine et venir de lui-même dans les bras de l’adorateur, comme un somnanbule.

Avec l’accord de Samira, je sonde son esprit et y capte des images et pensées perturbantes. Il voit une structure dans la géante, après avoir été attiré ici de manière viscérale. Il voit cette structure comme sa maison et veut y retourner absolument.

Tout cela laissera perplexe sa mère qui acceptera toutefois que le médec...que Vourvz fasse des recherches génétiques sur lui. Il découvrira que Samira n’est qu’a 75 % sa mère, mais tout cela n’est connu que des deux concernés.


Et nous voilà parti, dans un vol qui s’avère tendu. La fouine et sa concubine se dispute au point que je laisse ma cabine à la jeune femme et que je m’engueule à mon tour avec mon chef de la sécurité, encore...Je sens également une forte tension entre lui et Vourvz. Les choses semblent toutefois mieux se passer entre lui et Samira.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

La situation dérape quelque peu. Les adeptes de Krontz, dont le grand Muffin sont souffrant après le choc provoqué par l’intervention de Yaroslav. Il a fait feu avec son arme sur le point central de la focalisation des adeptes dans le séjour des passagers.
Il faut dire que tout le monde est à cran à cause de ces zozos. J’ai déjà eu du mal à faire cohabiter ces types avec les élèves officiers de Patinir. Et maintenant cela.

Ils sont dans leurs cabines. Le grand Mufffin est à l’infirmerie et Bérésie ne vas pas bien. Petit à petit leurs constantes s’harmonise et le Warg ne sait pas de quoi il retourne.

Lors d’une phase de sommeil, nous voilà dans une sorte de rêve étrange, très typé mysticisme et punition divine à l’encontre de la Fouine. Je réussi à m’en extraire grâce à mon entrainement mental et à en faire sortir Yaroslav avant qu’un drame ne se joue dans son esprit.


Nous n’avons pas le temps de débriefer de cette expérience que nous voilà tirés hors de l’hyper-espace par l’alerte de collision. Nous avons miraculeusement, grâce aux efforts de Gvoudzon échapés à la vaporisation sur un astéroïde à la forme étrange, constellé d’anomalie gravitationnelle. Nous détectons à la surface des épave de vaisseaux, petits ou plus grand, ainsi que les signes d’une installation manufacturée.


Nous décidons donc de nous rendre sur place, un peu contraints et forcés puisque Samira nous informe qu’il lui faut idéalement des pièces pour les réparations.

Nous commençons par fouiller un navire disloqué Droyne dans lequel nous trouvons un journal de bord manuscrit qui fait référence selon Gvoudzon (décidément ce Warg là a tous les talents) à de la corrosion pourrissante ( ndr:me rappelle plus le terme exacte). Ce vaisseau à sans doute plusieurs milliers d’année.


Un peu comme ce vaisseau de l’empire datant de près de 2500 ans. Nous l’explorons pour y touver des corps dont la vue soulève le coeur. Sans doute victime d’un accident d’hyperespace. Ils semblent retournés comme des gants. C’est écoeurant. Nous arrivons à ouvrir un cargo sécurisé non sans déclancher un explosif piège. Fort heureusement la cargaison n’a rien. Ma combinaison et celle de gvoudzon sont percées, nous les réparons tant bien que mal et le warg perd connaissance un court instant à cause du manque d’oxigène.

Le cargo contient des pièces de rechanges pour vaisseau, nous sommes sauvés de ce côté là.


Nous nous apprêtons à investir la « base » pour voir quels secrets et/ou trésors elle nous réserve.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Les explorations du début se sont beaucoup mieux passées que celles que nous entreprenons maintenant. Si le vaisseau Aztlan n’a pas posé de problème majeur, celui des Wargs piégé nous fait payer un lourd prix en matériel et en ressources humaines. Nous sommes plusieurs fois blessés et je décide de mettre fin à tout cela. L’enjeu, trop incertain, ne vaut pas les risques dans la situation dans laquelle nous sommes.


Nous avons trouvé de quoi réparer le vaisseau, nous avons trouver quelques armements personnels et un armement de vaisseau qui représentent des ajouts intéressants sans avoir à débourser de crédits.


Ce qui me gêne le plus ce sont ces « rêves » incessants et qui menacent le fonctionnement du vaisseau. Nous échangeons sur le sujet lors d’une réunion. Samira accepte que le lise dans ses souvenirs puisque son fils ne cesse de nous dire que Bérésie, sans ses rêves lui affirme qu’elle sait comment les réveiller. Mis de côté les questions auxquelles nous n’avons pas les réponses, nous convenons collectivement que la seule chose dont est capable Samira à bord, que personne d’autre ne peut faire c’est de réparer le vaisseau pour qu’il reparte dans l’hyper espace. Nous émettons l’hypothèse que cela pourrait sortir des adeptes de Krontz et Bérésie de leur torpeur mystique.


Tout cela est assez perturbant je dois l’avouer. Je suis fatiguée de tout cela. Fatiguée de ces clients jamais content. Fatiguée de ce médecin de seconde zone et de ce chef de la sécurité maniaque mais au final toujours à côté de la plaque. J’ai vraiment envie de dormir, mais je n’ose pas.


En attendant, les ordres sont simples : réparer le vaisseau, environ une semaine, et récupérer l’armement du vaisseau Aztlan. Après cela, nous repartons.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Par acquis de conscience, alors que nous étions décidés à attendre les réparations du vaisseau pour nous extraire de cet astéroïde, la Fouine et moi-même nous rendons aux abords de la base pour que je m’assure qu’il n’y ai personne de vivant. Nous ne pouvons le faire avec les senseurs, des brouilleurs sont en place sur cette base.



Tout commence lorsque je me rend compte qu’il y a 30 formes de vie Atzlanne et une douzaine non identifiées. Après quelques pas dans la base, une silhouette se dessine, fuyante, puis agressive après que Iaroslav l’éblouisse avec sa lampe frontale. Il s’agit d’une sorte d’Astlan mutant, en combinaison spatiale détruite. Je le maîtrise alors qu’il me saute dessus tandis que la Fouine en immobilise un autre qui venait d’apparaître. Nous en prenons un et nous enfuyons alors qu’une demie-douzaine d’autre se lance à notre poursuite.

Bondissant dans le vide spatial après avoir dit à Samira de faire décoller la navette au plus vite, nous sommes obliger d’intervenir pour empêcher Samira d’être exposée. Je tire au laser, et la Fouine avec une arme à projectile, qu’il maîtrise mal. Il manque de me tuer et exécute à la place le spécimen que je portais pour analyse.


Nous décidons d’attendre la fin des réparations pour tenter de récupérer les survivants, pour ne pas mettre en péril nos réserves pour la semaine de trajet à venir.

Je sollicite les policiers qui refusent, arguant que cela pourrait leur porter préjudice si cela tournait mal.


Et effectivement cela tourne mal. L’exploration nous mène dans des zones vides, nous comprenons rapidement que la pourissure dévorante ne vient pas de la base mais devait sans doute provenir du vaisseau Droyne. Nos recherches des derniers jours nous ont amené à la conclusion que des procédures renforcées de décontamination, couplé avec les découvertes sur la prolifération de cette chose au contact de matériaux radioactifs et sa fixation sur les tissus vivants devrait amplement suffire à ne pas faire courir de risque à la galaxie. Il s’agit de bionanomachine.

Bref, nous explorons et tombons sur des androides de surveillance que Samira tente de pirater. L’intrusion est détectée et le contrôle de ce truc nous envoie un drone d’interception qui ouvre le feu. Vourvz et Samira se blessent légèrement en évitant les tirs d’énergie. Je désactive le drone d’un coup de laser, mais son dernier tir vient détruire un androide de surveillance qui déclenche donc l’alerte générale d’intrusion ennemie en place de la simple surveillance d’intrus non hostile. Samira réussi in extremis à nous inscrire dans le registre comme personnel autorisé, coupant ainsi ce danger potentiel.


Le bruit ayant sans doute attirer un mutant, nous le maîtrisons et je repère ensuite l’approche de tous les autres. Nous mettons en place un guet-apens à base d’embuscade, de grenade, de tir croisés et, bien évidemment, après un départ plutôt prometteur, l’ennemi arrive à se frayer un chemin jusqu’au toubib et à l’ingénieur. Nous maîtrisons les hostiles mais les combinaisons de deux membres de l’équipage sont endommagées. Les réparations d’urgence s’avèrent catastrophique sur la combinaison de Samira. Elle va mourir sans que nous puissions faire quoi que ce soit.

C’est alors que, sans trop réfléchir, comptant sur les théories des chercheurs du corps Psy sur mes capacités, non vérifiées jusqu’à présent, que je m’extraie de ma combinaison pour que la Fouine en équipe Samira. Gvoudzon lui tente de me ramener à la navette au plus vite, puis au vaisseau mais trop tard.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Nous voilà enfin sur le départ de cette péripétie qui aurait pu nous être fatale. Au péril de nos vies, nous aurons tiré de cette mésaventure des informations, un armement au plasma pour le vaisseau, une cargaison de pièce détachées, anciennes mais fonctionnelles et le le sauvetage de deux douzaines d’Atzlan.

Le passage en hyperespace est parfait et nous découvrons un peu plus nos passagers que nous pensons d’abord ingrats mais qui n’ont au final juste pas la même culture que nous. Nous apaisons les questionnements en leur demandant d’officialiser la cession du canon provenant de leur vaisseau pour qu’ils cessent de se demander pourquoi nous les avons sauvé, étrangers qu’ils sont au concept d’altruisme.


La situation s’améliore également pour les Adeptes de Krontz qui se réveillent tous, y compris le grand Muffin que nous avons tenté de garder quelques temps sous sédation. Même Bérésie est en passe d’être guérie.


Nous optons pour une arrivée discrète, occultée, dans le système de patinir afin de déposer notre « activiste » sur un astéroïde minier afin qu’il puisse par ses propres moyens regagner l’une des stations. Nous faisons ensuite semblant d’arriver en nous désocultant et prenons contact comme à l’habitude. On nous aiguille vers un croiseur de la marine impériale qui souhaite nous poser quelques questions sur l’affaire du Marquis.

Une escouade menée par un capitaine de la marine aborde et nous pose quelques questions. Yaroslav et moi-même collaborons, les autres un peu moins sans doute, sans être réfractaire. L’ensemble des informations que je communique, détaillées et complètes, nous permettent d’avoir une relation cordiale avec ce militaire qui me donne même quelques informations sur les 3 individus que nous avons transporter en cryogénie ; des métamorphes.


Après le contrôle, nous plongeons dans les procédure administratives de Patinir, débarquant nos réfugier et nos clients. Des adieux poignant avec le Grand Muffin qui attache beaucoup d’attention à Qtaïba et des au revoir sincère avec les officiers stagiaires que je remercie pour leur compréhension. Nous discutons avec les douanes, indiquons que nous souhaitons négocier notre cargo de pièces détachées, tout comme potentiellement notre canon au plasma Aztlan.


Nous allons rapidement, puisqu’avec une semaine de retard, voir le contact d’Ulrika Bazérou afin de livrer la marchandise. Il nous informe que nous sommes en retard et qu’il a pris d’autres dispositions. Heureusement pour nous, la navette qu’il a envoyé n’est jamais arrivée et cela nous laisse l’opportunité d’aller livrer directement la marchandise en échange d’une compensation financière qui vient à pique pour payer les réparations sur le vaisseau.

Nous lançons les réparations immédiatement. Réparer les boucliers anti-radiations prendra 3 jours, pile le temps que nous a laissé l’homme pour nous mettre en route.


Nous faisons le nécessaire pour stocker nos cargo avant d’aller prendre des verres en compagnie d’un mineur, connaissance de la Fouine.

Nos projets à cours termes en tête comme l’achat et l’installation d’un ensemble de dispositifs à usage commercial, comme l’intégration d’automatisation pour le chargement des marchandises. Ou bien encore l’acquisition pour les officiers d’uniformes pouvant faire office de combinaisons pour environnement dangereux.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Après la disparition de Gwoudzon la veille dans ce bar à striptease, kidnappé puis ramené par Igoulimdyr Paslàlecadenas dans le vaisseau avec l’aide d’une technologie de pointe brouillant les détecteurs et permettant de passer à travers les murs, la journée s’annonce plus calme.


Je me charge avec Gvoudzon de quelques acquisition, d’échange de cargo et tout ce passe plutôt bien. Nous récupérons des combinaisons pour les officiers, à la fois blindées et résistantes, légèrement rigide mais rien d’insurmontable, accompagnées d’un casque déployable étanche. Les combinaisons sont bleue ciel et porte un insigne en forme de trident. Le vendeur dit que les combinaisons présentent une forme de résistance à la modification cosmetique. Un challenge pour Samira ?

Nous troquons la cargaison de pièce détachée, mais cela va prendre un peu de temps à concrétiser.


Samira, dans cette journée, passe du temps avec son fils avant de se faire kidnapper à son tour. Nous n’en serons toutefois pas informés puisqu’il n’y a aucune raison de s’interroger sur leurs absences.


Nous allons Gvoudzon, Vourvz et moi dans le bar à striptease à nouveau, en journée. J’ai l’envie de me renseigner sur l’outil qui leur permet d’avoir un catalogue si riche en option. Nous discutions avec la patronne qui accepte une transaction financière pour nous fournir les plans de la machine qui permet de modifier l’apparence du corps : le métamorphoseur.


C’est sur le chemin de retour au vaisseau que nous constatons que la Fouine n’est plus là après avoir été avertis par Bob. Nous réagissons rapidement et après nous êtres assuré de la bonne santé de Samira et Qtaïba, nous nous équipons et partons à sa poursuite la truffe au vent...enfin Vourvz.


Nous arrivons comme je l’avais supposé à proximité de la basse impériale, devant un mur qu’il n’aura sans doute eu aucun mal à passer.

Je me concentre comme rarement pour arriver à capter les signes vitaux de Yaroslav et reste près de deux heures, par intermittence à guetter son départ de la zone.

Nous arrivons à rattraper le kidnappeur et sa victime en facheuse posture (cf les photos affichées dans le mess des employés par l’équipage)

Par la force de ma volonté j’arrête Igolmdir dans son élan de fuite et il se retrouve plaqué par les deux Wargs bien décidés à ne pas le laisser partir. Une dose de sédatif lourd plus tard et nous voilà à ramener notre ami saoul au vaisseau.


La suite est assez surprenante. Une exploration mentale de l’individu m’apprend qu’il est un prêteur sur gage et que c’est une sorte de puce de personnalité activée il y a une dizaine de jour qui lui a sans doute fait prendre la personnalité de l’agent de sécurité du marquis. Cela est confirmé par le dispositif implanté dans sa nuque, relié à son cerveau et qui contient une puce qui c’est autodétruite, sans doute à cause de sédatif. Physiquement, de près, l’homme n’est clairement pas Igoulimdir, malgré une apparence savamment entretenue.

Finaliser les recherches sur l’implant et sur la malette nous conduira hors délai de notre mission de transport, il semble donc plus sage de conserver l’homme sous sédatif le temps de cette mission. Nous aurons sans doute besoin de ses données biométriques pour percer les secrets des technologies présentent dans cette fameuse malette.
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Nous laissons l’astéroïde minier et son anomalie spatio-temporo-quantique. Nous avons conclus que les mineurs avaient été attaqués par des pirates. Ils les ont conduit dans cette pièce connaissant ses risques pour piéges les assaillants. Beaucoup sont morts mais visiblement, leur cachette pillée est le signe que d’autres ont survécus pour repartir.

Nous embarquons donc ce que nous pouvons : un cargo de souffre, du matériel de mine et un van de l’espace.



Nous mettons le cap sur Patinir I en faisant le détour prévu par les dernières coordonnées connues de la navette d’approvisionnement disparue.



Pendant les deux jours de trajet, Samira et Vourvz intervienne sur mon système de tatouage pour le réparer et qu’il arrête de diffuser aléatoirement des figures incompréhensibles. (Les deux font des expériences sur moi, chacun de son côté, me prenant des souvenirs enregistrés dans un dispositif pour Samira, complétant sa collection d’échantillon pour Vourvz).



Sur place, nous trouvons le vaisseau à la dérive, éventré par des tirs multiples dont un missile à tête nucléaire, arme sâle.

Un survivant à bord nous indique que le vaisseau «Le ???? » capté sur les instruments de télémétrie est en fait le Wolfblutten. Surpris par la nouvelle nous tâchons tout de même de sauver cet homme gravement irradié. Vourvz tente une expérience à partir d’un proto-sérum à base de glande de chien du désert (et de mon sang) et l’injecte à l’homme qui ira mieux dans les heures qui suivent.





La nuit n’est pas sans problème. Gvouzon et moi-même sommes sujets à des cauchemards visiblement provoqués par des pouvoirs psychiques. Pensant que je suis en cause je demande au médecin de me sédater pour libérer Gvoudzon de son sommeil psychiquement contraint.



Dans nos réflexions sans conclusion, nous approchons de l’astéroïde sur lequel nous avons rendez-vous avec ???? pour lui restituer sa navette et sa cargaison dont il nous devra la moitié.
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L’abord de l’astéroïde, en périphérie de Patinir I où nous devons rencontrer notre commenditaire est calme. Ce n’est pas forcément le cas dans le vaisseau, les cauchemard et les interrogations sur l’origine du mal secouant pas mal l’équipage.

Alors que la fouine, Samira et moi même allons dans la structure non loin de laquelle Gvoudzon a posé le vaisseau et la navette que nous remorquons, Vince ‘ent’ Lamebeurt se réveille et a des échanges inquiétant avec les deux Wargs. Il veut partir immédiatement sur Patinir. Il bloque les communications sans qu’on le sache pour l’instant et fait usage d’un pouvoir mental sur le pauvre Gvoudzon.



Au moment d’achever les négociations, nous recevons un appel urgent du toubib nous demandans de repartir à bord. Je serre la main pour finaliser le deal : Pas de commision pour les jobs, cargo et passagers qu’il va nous trouver en échange de notre part sur cette navette que nous avions négocier en partant.



Le retour sur le vaisseau est riche en rebondissement. Tout le monde est très inquiet. Les wargs ont du en venir aux mains pour neutraliser Vince et le doc a paniqué en détruisant une partir de ses recherches. Va donc savoir pourquoi. Après d’âpres discussions, c’est le coeur lourd que nous décidons de nous débarrasser du problème « Vince ».

J’ai bien conscience que l’impulsion vient de moi. C’est sans doute très égoïste mais je sais que laisser ce type en liberté amènerait les autorités à notre sas et je pense que personne à bord ne veut cela. Je ne pense pas que l’on me donnerait une seconde chance de vivre une vie « normale » J’apprécie ce que j’ai et je n’ai pas envie de le perdre pour une expérience de fou sur un gars que allait mourir dans les heures suivant son sauvetage. J’ai bien senti que l’équipage était déçu de ma position, et je le suis également. Je pense avoir un haut sens moral, mais je n’en demeure pas moins humaine et j’ai eu peur des conséquences sur nous tous. Le protocole « cendrier » est sâle mais me semblait nécessaire. J’ai également demandé à Vourvz de détruire l’ensemble de ses recherches.



Nous retournons finalement sur Patinir où nous faisons notre métier et nous commerçons. Le vaisseau est finalement équipé des panneaux dont j’avais besoin, des interfaces de contrôle des drones publicitaires et des serveurs automatisés de publicité sur sectornet. Cela devrait grandement augmenter notre visibilité à l’avenir. J’accompagne également Samira dans sa recherche d’implants. Je ne lui dit rien, elle sait ce qu’elle fait je pense. Je ne trouve pas cela raisonnable. Mais c’est une adulte je pense. Elle négocie ses installations de matériels.

J’entame une phase de recrutement pour compléter l’équipage. Yaroslav me fait remarquer que pour notre activité, quelques gros bras ne seraient pas un luxe. Je procède donc à quelques examens de candidatures après avoir fait passer le mot. Mon attention se focalise sur un groupe de 4 mercenaires, d’anciens militaires à n’en pas douter. Je ne sais trop pourquoi mais je ressens une affinité particulière avec leur « chef ». Je suis a peu près sur de ne l’avoir jamais vu, mais en même temps mes souvenirs ne sont pas des plus certains ces derniers temps.

Tant que nous sommes dans les actes de ressources humaines, je m’occupe du cas Bérésie. Lors de nos tractations des commerçants ont attiré notre attention sur une série mettant en scène l’équipage du Blouga et l’on pouvait presque y reconnaître Samira. Je rencontre une certaine opposition à ce renvoi qui s’annonce, mais l’entretien avec la journalope finit de convaincre même les plus désireux de la garder à bord. Sa suffisance et son inconscience mette la sérénité et le calme de cet équipage en péril. Je décide donc de la faire renvoyer du vaisseau pour ses infractions au code de bonne conduite. Nous allons examiner ses appareils avant de lui rendre intacts, mais vierge.



Le recrutement des gardes est en cours, la fouine fait ses recherches pré entretien lorsque nous recevons des invitations à un repas organisé par Tukéra. Même Bérésie est invitée. Nous décidons de renvoyer l’invitation en stipulant qu’elle ne fait plus partie de l’équipage. Chacun se prépare pour le repas qui s’annonce être plus important que prévue. La fouine apprend que plusieurs personnes on fait des pieds et des mains pour êtres invités et que le repas a été reporté pour attendre que nous soyons présents. Sur place Gvoudzon rencontre une ancienne collègue qui connaît bien la sœur de Vourvz. Elle a d’ailleurs un message de sa part qu’elle lui remet non sans avoir demandé la médiation de Gvoudzon, craignant la réaction du Warg si on lui parle de sa sœur. Au final tout ce passe très bien pour cet échange, le message de la sœur étant plutôt encourageant et amical.
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C’est une évidence que plusieurs officiers n’avaient pas envie de venir à cette soirée mais ils ont fait l’effort. Les locaux de la TAS de Patinir sont plutôt agréables. Modernes, design, technologique. Nos hôtes sont des plus agréables, la directrice des opérations Véronika Valéria Waren de Tukéra, et son époux Edwardo Moris Warendont je m’aperçois qu’il était présent à notre soirée casino. Je suis en adoration devant sa robe de grand couturier. J’avoue avoir été un peu contrariée lorsqu’elle m’a présenté son mari, j’espérais presque qu’elle soit célibataire tant elle est charmante.

Mais ils ne sont pas seuls à cette soirée et quasiment toutes les personnes présentes avaient un intérêt à nous rencontrer, principalement pour en apprendre plus sur notre voyage avec le Marquis d’Aramis et chercher à savoir si nous avions jouer un rôle dans les évènements autour de la disparition du Marquis sur Natoko et sur son changement de comportement.



En effet, à la lueur de ces interrogations, je cherche sur sectorNet pour savoir ce que le Marquis a bien pu faire de si notable depuis sa réapparition. Il a visiblement affirmer des positions protectrice vis à vis de la Somili, mettant ainsi Tukéra en difficulté. La prise de position de Roll Bulolo dans le rachat de la Somili à visiblement créer des remous importants. Cette prise de position ferme sur ce sujet de politique apparemment local aura aussi eu pour conséquence non officielle de rompre l’entente avec les Dariens sur place, ainsi qu’avec un des clans Warg en tractation avec le Marquis. Mais toutes ces histoires sont bien loin de nos préoccupation mercantile.



Nous avons également eu le plaisir de rencontrer :



- Jolina Angelie, célèbre actrice d’holofilm d’action. Il semblerait qu’elle soit bien plus que cela puisqu’elle a tenue une conversation fort discrète avec la Fouine après lui avoir fait un signe secret de reconnaissance en lui serrant la main. Une espionne impériale ?



- Le commodore Zzatsouhish Shoumou, de la marine impériale. Il aura une conversation d’anthologie et suréaliste avec Samira. « Droit au but et pas d’histoire...Madame ! »



- Gourdouéumknaë, l’émissaire Waarg, amie de la sœur de Vourvz qui s’entretiendra longuement avec ce dernier ainsi que Gvoudzon.



- Rékik Fletcher, ancien diplomate, là pour le compte de la douane impériale pour vérifier qu’il n’y a pas de trafic de Lanthane, accompagné de son apparente call-girl Kittie.



Les discussions se font, chacun des invités tente de nous soutirer des infos que finalement nous donnons de bon gré puisque nous n’avons rien à voir dans toute cette histoire.

Je met diplomatiquement et poliment les points sur les i avec Véronika Valéria Waren et par là même avec Tukéra, en leur racontant l’histoire. Je la rassure ainsi sur notre non implication dans ces affaires, et ses affaires, et celle du Tukéra, autrement que de manière amicale. Je lui rappelle notre participation à la récupération des débris du Mamouth (Goliath?) et les remerciements chaleureux que nous avons eu d’Akérut. Je lui montre même la fameuse carte de visite noire, symbole de nos liens amicaux avec cette société. Tout comme le directeur adjoint du musé de Lidor, elle pensait et sa société aussi que nous œuvrions pour une des factions impliquées dans cet imbroglio économico-politique.



La journalope finit par faire son apparition, chouinant auprès de la fouine, le demandant en mariage, réclamant de revenir à bord, même en passagère clandestine. Finalement il botte en touche en lui présentant Jolina. Le courant passe bien entre les deux et visiblement elle lui propose de devenir son assistante. Du coup bérésie oublie totalement ses fausses larmes et son amour ravivé soudainement pour jaroslav. Sa présence donne également le départ pour bon nombre d’entre nous qui quittons la soirée pour aller vers des endroits plus propices à l’amusement.



Vourvz part avec l’émissaire warg pour une soirée plus romantique et sensuelle. Tout se passe bien.

Samira repart sur le vaisseau, sans encombre, tout comme Gvoudzon.

La Fouine, et bien, disparaît comme d’habitude.

Quand à moi je décide d’aller passer un moment de débauche charnelle avec Rékik Fletcher et Kittie. La fin de soirée est torride et intense...jusqu’à ce que je me réveille dans ce lit, la tête embrumée et la sensation que j’étais en train de parler dans mon sommeil. Seule kittie est là, assise au bureau éteignant visiblement un dispositif.

Je tente de la confronter sans succès, persuadée qu’elle était en train de m’enregistrer. Je la persuade donc par la force de mon esprit de me dire ce qu’elle faisait et de me montrer comment.

Elle s’exécute donc, maladroitement et visiblement contrôlée, fort heureusement sans témoin en me disant qu’elle me questionnait et enregistrait le tout. Elle m’ouvre la console secrète et dissimulée dans le bureau. J’arrive à copier mon enregistrement lorsque Rekik revient de la douche. Je le confronte également et lui ne nie pas. Je sens ma tête qui tourner et comprend rapidement que tout cela, y compris la sorte de transe, doit venir de Kittie et d’une faculté à produire et diffuser des hormones ou des toxines. J’enclenche donc la ventilation de la pièce à fond pour ne pas perdre mes moyens. Je pirate le serveur de Rekik et arrive à télécharger son contenu, mais n’arrive pas à localiser mon enregistrement pour l’effacer. Un rapide coup d’oeil à certain fichier m’inquiète particulièrement. Il s’agit là des personnes faisant partie de ma branche particulière des services secrets impériaux.

C’est donc inquiète, très inquiète même que je quitte cet appartement non sans lui avoir brisé les noix d’un coup de genoux bien placé.

J’appelle la fouine en me rhabillant dans l’ascenseur pour lui expliquer ma situation. Il a bien comprit l’importance pour moi de la situation car il ne pose pas de question inquisitrice comme d’habitude et accepte sans sourciller de mettre en place une surveillance rapprochée sur Rekik et Kittie.
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La fouine prend immédiatement les choses en mains et entamme une surveillance de l'homme et de la jeune femme. Il axe d'ailleurs sa surveillance sur Kitty et note des banalités sur elle : salle de sport, repas avec une amie, sortie en boite.
Toutefois en la suivant, il tombe, devant l'entrée d'un "immeuble" d'entreprises, sur le commodore qui, après avoir discuté, s'engouffre dans le même immeuble pour parler avec l'accueil.
Sortie en boite de nuit pendant laquelle Yaroslav profite pour placer un mouchard dans le sac de l'espionne. Mouvement judicieux puisque s'en suit après la boite un repas avec son ami pendant lequel des discussions très intéressantes ont lieu. Nous apprenons notamment qu'ils envisagent de questionner le comodore mais aussis le capitaine Deejohn.
La fouine récupère son mouchard et nous décidons d'installer une surveillance électronique dans l'appartement. La chose est complexe, notament à cause d'un système de sécurité à base de reconnaissance olfactive. Mais nous parvenons à nous introduire dans l'appartement sans nous faire repérer et à y placer la surveillance. Je parviens également à accéder à son réseau et récupérer mes dossiers. Cela prend un peu de temps et nous met en danger, forçant nos membrs d'équipage qui faisaient le guet à créer ube altercation avec l'individu, déféndu par des gardes du corps.
Je dois aller les récupéreer au poste et verse un pot de vin conséquent pour les faire sortir tout de suite.
Une péripétie liée à la paranoia du couple nous oblige à pieger l'évacuation des eaux usées de l'appartement du comodore pour que l'interrogatoire est place chez kitty et non chez lui.
Nous enregistrons les ébats et l'interrogatoire.

Je répvens le capitaine Deejohn et le voit pendant un repas fort sympathique. Je lui explique tout, sans doute trop, et nous terminons la nuit dans ma cabine dans le vaisseau. Au petit matin nous faisons un briefing avec les officiers et Deejohn. Nous arrêtons un plan consistant à le laisser se faire interroger et intervenir en cas de nécessiter.
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Message par RossVell »

Le plan ne se déroule pas tout à fait sans accroc.

Si l’approche par Rekik Fletcher et Kitty se passe comme on aurait pu s’y attendre, c’est lors de l’interrogatoire sur l’oreiller que les choses se compliquent.

Le produit préparé par le Vargh qui sert de médecin de bord semble produire des effets secondaires. Le capitaine Deejohn semble perdre le contrôle de ses pensées et il se plaint d’avoir extrêmement chaud. Kitty s’en inquiète, tout comme moi, mais elle vient prendre sa température et constate effectivement qu’il est brûlant.

C’est avec ce contact que les choses dégénèrent. Le capitaine attrape la main de Kitty et lui pose des questions auxquelles elle répond dans un premier temps avant d’être confuse. Rekik entre précipitamment, puisque, comme nous, il surveillait l’évolution depuis une pièce voisine. Sous nous yeux ébahis, le capitaine semble prendre le contrôle de Rekik, le faisant approcher sans rien dire pour entrer en contact avec lui et s’en suit une longue minute d’évidents échanges muets entre les trois protagonistes. Leurs esprits semblent presque se mélanger puis tout s’arrête. Kitty et Rekik tombent comme des masses, dans une sorte de coma léger tandis que Deejohn va à l’ordinateur, récupère et efface que qu’il souhaite comme son interrogatoire et celui du Commodore.

J’essaie de le joindre mais il ne répond pas, nous le voyons bien. Le temps de décider quoi faire, le voilà qui se rhabille, récupère une arme dans un meuble et va ouvrir une sorte de passage secret non répertorié vers des conduites de maintenance.

Avec Yaroslav et Samira, je me lance à sa poursuite, tandis que Vourvz et nos 4 gros bras doivent se charger de transporter les deux comateux jusqu’au vaisseau pour temporiser et savoir ce qu’il se passe.



La course poursuite est délicate, nous allons dans des conduits puis remontons dans l’arrière salle d’un bar. La sortie est compliquée pour Samira et La fouine qui ne veulent pas attirer l’attention. Du coup je rattrape Deejohn, mais il me remarque. Il s’arrête, se retourne, se concentre et une dizaine de passants me tombent dessus visiblement pour défendre le capitaine. J’ai le temps de l’etouffer par télékinésie et de le faire tomber inconscient.

Entre temps, Vourvz a toutes les peines du monde à canaliser la libido et le désir incontrôlables de l’équipe de sécurité, envoutés par les phéromones de Kitty qui les produits de manière anormale, tout en étant inconsciente. Cela manque de tourner au pugilat et l’usage de la ventilation de l’appart par le Wargh sauve la pauvre Kitty du pire, voir même d’encore pire.



La fouine appelle Vourvz pour lui demander de me ramener insconciente au vaisseau. Puis de revenir pour récupérer le Capitaine que lui et Samira auront pris la peine de récupérer dans le dispensaire où deux « protecteurs » l’avaient amené.



Au final nous nous retrouvons au vaisseau avec 5 personnes inconscientes :

Deejohn, Rekik Fletcher, Kitty et les deux gardes du corps spontanés.



Tout cela nécessite des analyses pour bien comprendre la situation. Je donne des ordres confus à Vourvz, très inquiète pour le capitaine Deejohn.



Il ressort de tout cela que Kitty est altérée génétiquement pour avoir des glandes et un système nerveux qui lui permet de contrôler tout cela. Impossible de savoir si c’est modifié avant la naissance ou après.

Rekik dispose d’un emetteur artificiel de phéromone, qu’il doit recharger, ainsi que des dispositifs l’immunisant contre les sérums de vérité. DeeJhon quand à lui a vue sa chimie corporelle modifiée par le produit de Vourvz. Sa peau est devenue perméable et à emmagasiner les phéromones, s’accumulant dans sa peau, son sang et lui montant au cerveau ce qui a crée une crise psychotique.



D’autres analyses nous donnent le moyen de contourner les protections physiologiques de Rekik. Nous procédons au questionnement, dans un état second, sous médoc et sérum de vérité. Il nous raconte son histoire : il a assisté lors des ses missions en tant que diplomate à plusieurs opérations militaires (sauvetage, récupération, exfiltration etc..) au cours desquelles il a pu constater l’intervention de forces spéciales dont il n’a pas pu définir l’existante. Depuis cette période, il a pris le partie de rechercher des infos sur ce sujet et a vraiment commencé à devenir efficace le jour où un ancien de cette branche lui a remis une liste de membres sur laquelle il enquête depuis quelques années.

Je remarque toutefois une sorte de blocage dans ses réponses, dont il ne pourrait lui-même pas être conscient. Je procède donc à l’usage d’une sonde mentale sur lui et manque de peu de me faire griller le cerveau par la barrière placée là. Heureusement, mon entraînement et la puissance de ma psychée me permettent de dévier l’attaque.

Ce que je découvre est déstabilisant. l’homme est une taupe Zodanie. Depuis toutes ces années, il travaille sans le savoir pour les Zodanis.

Avec ce nouvel éclairage, nous l’interrogeons à nouveau, en compagnie du capitaine Deejohn.



Nous interrogeons ensuite Kitty en commençant, comme pour Rekik, par des analyses. Nous nous rendons compte que son système la protège vraiment bien de la plupart des produits. Il faudrait des doses massives et donc potentiellement mortelles pour la faire parler. Nous nous refusons tous, étrangement, à lui infliger cela. L’idée même de lui faire mal, voir de lui injecter le moindre produit nous est insoutenable. La fouine trouve cela étrange, lui qui est plutôt habitué à compartimenter ses émotions et laisser place à une froide méthode lorsqu’il s’agit d’interroger quelqu’un. Nous menons cette discussion à l’extérieur du vaisseau pour tenter de discerner nos réelles émotions de ce qui pourrait être induit par Kitty.

Nous nous rendons compte que nous nourrissons les même réticences pour le capitaine Deejohn. Tout cela est très frustrant de ne pas arriver à démêler le vrai du faux. De sentir que quelque chose ne va pas, mais de ne pas être maîtresse de la situation.



Quoi qu’il en soit, le choix de l’avenir de Rekik et par ricochet du mien, puis du notre va être difficile. Remettre l’espion Zodani à Deejohn et donc à la marine impériale pour attérir dans un service anti Zodani avec beaucoup de questions pour le capitaine. Ou bien le remettre à mon ancien service et leur faire se poser beaucoup de questions aussi. Lequel des deux est le plus à même de nous protéger contre les zodanis ? Lequel est le plus à même de protéger l’empire ? Lequel est le plus fidèle aux idéaux de l’empire ?
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

Nous décidons finalement de remettre Rekik et Kitty entre les mains du capitaine Deejohn, à l’attention de la marine impériale et dans le même temps, via ses canaux, La fouine remet les informations que nous avons sur les recherches de Rekik aux mains du RT afin qu’ils puissent prendre les mesures pour se prémunir des Zodanis.



Nous quittons enfin la station spatiale de Patinir I en direction de Pisadi. Nous embarquons les passagers.

Un archéologue fasciné par les pyramides et son étrange secrétaire Alien, Viédivote. Un artiste, sculpteur, et son épouse. Un théologien et sa petite nièce que l’on pressent déjà faire problème avec Qtaïba. Et une troupe d’une vingtaine d’artiste d’holo films de niche. Encore des personnes qui semblent sortir des standards.

Je prie pour que ayons un jour des passagers d’une banalité effarante.



Des tensions apparaissent encore entre les membres d’équipages, principalement les officiers. Les non-dits et les quiproquo sont nombreux et les tensions ne s’apaisent pas avec cette promiscuité.



Un incident survient lors d’une soirée, alors que les saltimbanques lourdingues font leur spectacle. Je sens que le sculpteur ne vas pas bien, forcément à contempler l’hyperespace depuis plusieurs jours…

Je demande à Vourvz d’intervenir et lorsqu’il rentre dans la cabine cela dégénère. L’homme est prit d’une crise psychotique et tente de frapper le Warg, puis se taille un passage en bousculant l’homme de sécurité avant de lancer une sculpture en métal sur la pyramide artistique des ...artistes ?

Nous maîtrisons l’homme et la soirée reprend tandis que sa femme l’accompagne à l’infirmerie.

Nous constatons à cette occasion que Bob n’a plus sa programmation native que nous avions du lui réinstaller.

Est lié au comportement étrange, téléporteur, lévitant et consommateur de larve sucrière avec Qtaïba du Viédivote ? Un rapport avec les légendes sur cette étrange espèce. Que fais un truc aussi rare aussi en évidence dans l’empire et sans prendre soin de ne serait ce que dissimuler ses capacités bien étrange ?



Quoi qu’il en soit ce genre d’excentricité n’est pas bon pour ma sécurité et donc pas bon pour celle de l’équipage.
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Re: [T-UW] Journal de bord

Message par RossVell »

La première semaine de voyage entre Patinir et Pysadi se passe au final pas trop mal hormis le petit accrochage. L’arrivée dans l’espace profond nous permet d’accepter la demande des artistes et de proposer une sortie extra véhiculaire aux passagers.

Les artistes souhaitent profiter de ce moment pour filmer des scènes de deux films. Qtaïba souhaite suivre et veux que l’on demande à la petite fille et son oncle de venir aussi. Pour cela il tente d’embrouiller sa mère et moi en nous racontant que l’une et l’autre somme d’accord. Finalement nous démêlons l’arnaque du petit escroc en devenir mais cédons.

Il n’en demeure pas moins qu’il y a un soucis au fait que cet enfant arrive constamment à passer la sécurité pour se retrouver dans l’espace dédié aux passagers.

La sortie se déroule presque sans problème. La petite fille se blesse suite à un mouvement de foule simulé par le tournage. Sa combinaison est abîmé et elle ne doit la vie qu’a l’intervention de Qtaïba.

Les images tounrées montre que la jeune fille n’a pas été bousculée mais qu’elle a initié elle même l’impulsion en direction du robot et qu’ensuite elle n’a rien fait pour modifier sa trajectoire. Cà plus le fait que je ne perçois pas d’émotion chez elle ni chez son oncle me font tiquer. Mais après tout, ce ne sont pas nos affaires. Elle est saine et sauve c’est l’essentiel.



Nous repartons donc pour le second saut. Tout ce passe plutôt bien. Enfin presque. Nous comprenons finalement que le changement de Bob est plutôt ancien, il y a plusieurs dizaines de jours, avant notre retour sur Patinir 1. En fait il s’agit de Vince qui au moment de mourir c’est transféré dans le vaisseau, dans tout le vaisseau.

Quelques dizaines d’heures avant l’arrivée, le viédivote harcèle Gvoudzon pour qu’il fasse quelque chose pour empêcher le vaisseau d’être détruit, il en a l’intuition. Exaspéré Gvoudzon lui pose des questions mais il reste flou et cryptique. Sous la pression et le harcèlement de l’Alien, Le Warg et la fouine se relaie au poste de pilotage pour parer à toute éventualité lors du retour en espace normal. Grand bien leur à prit puisque encore une fois, Gvoudzon sauve le vaisseau par une manœuvre de pilotage qui nous empêche de nous écraser sur la lune devant laquelle nous sommes sortis de l’hyperespace. La peinture est rayée, les panneaux publicitaires sont endommagés mais rien de bien méchant.

En revanche ce passage en espace normal si proche d’un corps céleste a été plutôt brutal et la plupart des passagers et de l’équipage est atteint. Douleurs abdominales, vomissements, nausées….

Tant et si bien que l’arrivée sur Pysadi se solde par une petite quarantaine de quelques heures pour s’assurer que nous ne sommes pas malade. Nous disons ensuite au revoir à nos passagers et passons quelques heures dans un bar du Spatioport où nous faisons la connaissance de deux équipages Wargs fort sympathique et de l’équipage prétentieux d’un navire de Tukéra. Le conflit est proche mais Gvoudzon, encore lui, apaise la situation suffisament pour que cela ne dégénère pas en rixe.



Nous apprenons des éléments intéressants, comme la pénurie et la forte demadne de Owood dans le système d’Aramanx. Nous apprenons aussi que l’équipage de Tukéra à raflé tout le stock présent dans la région soit 10 cargo. Les Wargs nous confirme que l’exploitation direct du Owood n’est pas interdite, mais ne se fait pas aisément, ce bois ayant la particularité d’être aussi dur que de la pierre.

Nous profitons aussi des vaisseaux présent pour réfléchir à comment se débarrasser de Vince pour nous rendre compte que cela ne sera pas chose aisée, voir impossible. Je laisse donc tomber la piste de juste racheter du stockage informatique pour remplacer le stockage du système informatique du vaisseau.
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