Re: Journal de Constantius
Posté : 17/06/2016 à 14:39
Partie 11 du 6/5/16, suite avec du retard de nos aventures. Je dédie cette aventure à Benny Hill, notre introduction dans la Sororité m'ayant rappelé quelques moments absurdes de cette série britannique.
Nous commençâmes par examiner le nœud chéliaxien qui se révéla chatouilleux et s’en prit à celui qui tentait de l’ouvrir sans disposer de la bonne combinaison. Saphiria nous apporte alors ses compétences interlopes sans succès, mais nous finîmes en remuant nos méninges par ouvrir ce dodécaèdre et à en révéler le contenu, pour le moins surprenant. C’est en effet une horrible caboche découpée poussant un hurlement continu que nous découvrons dans la boîte. Nous parvenons à l’identifier comme une Erinye, une guerrière angélique déchue au service de l’archidiable Moloch, responsable de sa malédiction. Elle dit s’appeler Kazrae Quilata et fut enfermée par un des anciens maires de la ville, Dargentu.
Dans la boite se trouver également du matériel de ce maire-margicien : des bougies pour communiquer avec les morts, ainsi que des parchemins magiques puissants. Nous trouvons également une pochette avec le symbole de la loge des éclaireurs du havre du Chercheur. Les Thrunes semblent avoir réouvert la loge avant de la faire fermer il y une quarantaine d’années. Un problème épineux en perspective … car Dargentu recherchait les éclaireurs pour on ne sait quelle raison. Pour finir, Nous découvrîmes un poème sur le thème fantastique de l’amour entre une sirène et un homme, il serait une clé pour découvrir le trésor des éclaireurs, ainsi qu’une liste des éclaireurs disparus durant la chute de la Loge.
Ainsi, nous apprîmes que la Sororité d’Eiseth et ses moniales qui se louent comme assassins, tout en conservant les restes de leurs victimes seraient encore propriétaires des restes de Coriana Paradisiaque, une des éclaireuses que nous recherchons. Cet ordre mineur aurait encore pour couverture légale un funérarium dénommé « la maison du massacre » dans le Rego Cader. On fait mieux pour trouver des clients dans ce genre de commerce, me dis-je …
De plus, les Lucca, une famille décatie de Couronne d’Ouest dont Rance serait le dernier survivant laissé en vie par les Thrunes disposerait des restes du capitaine aventurier Aigerl Ghaelfin. Il fallait envisager une visite à cet homme, propriétaire d’une arène de combats à la légalité douteuse nommée le Diablodrome, localisée une fois n’est pas coutume dans le Rego Cader.
Quant aux autres, nous n’en savions pas plus, si ce n’est qu’un des éclaireurs, Ilnérik Shivanshin, chroniqueur de Bisby, aurait fui Couronne d’Ouest lors de la Guerre Civile.
En dépouillant les autres documents, nous finîmes par saisir l’existence d’un artefact d’origine Mangwi, représentant un divinité duale, maléfique et bénéfique et découpées en plusieurs morceaux, dont l’influence aurait été déterminante sur la disparition de la Loge. Cela ne fit qu’épaissir le mystère.
Quant au poème amoureux, intitulé le « Mariage de Cugny », il était fort étrange. Composé d’une syllabe surnuméraire tous les 12 vers, ces syllabes mises bout à bout racontait une autre histoire : un 2nd poème nommé la porte des vagues, parle d’ouverture, c’est une cache secrète dans la Crique du Coutelas qu’il nous restait à localiser, se trouvant à 900 m des côtes, ouvrable de nuit avec un guide lumineux (celui des éclaireurs).
Mais ne pas parler de la tête coupée et vociférante de l’Erinye serait injuste. Nous fûmes en effet agonis d’injures par cette sale caboche devenu folle à cause de son emprisonnement. Du fait qu’elle pouvait nous être utile, nous décidâmes de la conserver dans sa boîte et proche de nous, mais ce ne fut pas sans la menacer de torture, notamment d’une immersion prolongé dans l’élément aqueux … Et dire que cette créature fut il y a longtemps moralement bonne, cela laisse songeur sur la puissante corruption des forces du mal.
Avec toutes les cartes en main, nous décidâmes de visiter d’abord la sororité des sœurs assassines, celles-ci occupaient un bâtiment vieillot de forme octogonale et notre entrée, à défaut d’être discrète ou fracassante, fut cocasse. En effet, nous prîmes d’infinis précautions pour avancer furtivement vers ce temple, mais nous ne découvrîmes aucune issue, sinon deux portes qui semblaient bien solides. Polis comme des Couronnais peuvent l’être, nous décidâmes alors de nous présenter sous un faux prétexte, plutôt ingénieux pour gagner leur confiance. Ainsi, je me présentai comme un noble historien et mes comparses comme mon équipe enquêtant sur les temps passés. Mais les moniales refusèrent illico presto toute forme de discussion, et nous prîmes un vent devant la porte, alors que le judas se refermait. Qu’à cela ne tienne, la force de Bartoli allait détruire la frontière matérielle entre nous et les moniales, la porte devait céder ! Hourra Bartoli ! Malheureusement, la porte semblait plutôt solide et Bartoli peinait, les moniales auraient bientôt le temps de s’organiser pour tous nous trucider, pensions-nous. Carsi eut l’idée d’utiliser une des baguettes de rouille récupérée durant nos précédentes pérégrinations. Eureka ! Le montant de la porte détruit, la porte fut défoncée et les moniales devant nous.
Le combat fut bref et sanglant, ces femmes n’avaient pas dû déployer leur talent depuis bien longtemps, car nous en vînmes à bout très vite et sans réelles difficultés, puis retrouvâmes l’urne funéraire de Coriana dans les souterrains. Prêts à partir, je pus constater une fois de plus que la curiosité légendaire des halfelins n’était plus à prouver. Brie adorait en effet fouiner et mal lui en prit, elle ouvrit le four qui faisait office de crématorium dans le bâtiment, pour libérer un élémentaire de feu d’une rare puissance et qui fut un adversaire autrement plus coriace que ses maitresses défuntes.
Sur place, nous décidâmes d’interroger la défunte dont nous venions de récupérer les cendres : Coriana Paradisiaque. Elle nous informa que Gaelfin connaissait les systèmes de sécurité de la Loge, comme Bisby. Elle nous indiqua également une plage au sable noir avec un rocher rouge à partir duquel on pouvait retrouver la cachette en barque. Pour finir, elle nous expliqua qu’elle avait tenté d’opposer à la famille Thrune la famille Davian, mais que tous s’étaient faits massacrer.
Notre prochaine étape serait le Diablodrome.
Nous commençâmes par examiner le nœud chéliaxien qui se révéla chatouilleux et s’en prit à celui qui tentait de l’ouvrir sans disposer de la bonne combinaison. Saphiria nous apporte alors ses compétences interlopes sans succès, mais nous finîmes en remuant nos méninges par ouvrir ce dodécaèdre et à en révéler le contenu, pour le moins surprenant. C’est en effet une horrible caboche découpée poussant un hurlement continu que nous découvrons dans la boîte. Nous parvenons à l’identifier comme une Erinye, une guerrière angélique déchue au service de l’archidiable Moloch, responsable de sa malédiction. Elle dit s’appeler Kazrae Quilata et fut enfermée par un des anciens maires de la ville, Dargentu.
Dans la boite se trouver également du matériel de ce maire-margicien : des bougies pour communiquer avec les morts, ainsi que des parchemins magiques puissants. Nous trouvons également une pochette avec le symbole de la loge des éclaireurs du havre du Chercheur. Les Thrunes semblent avoir réouvert la loge avant de la faire fermer il y une quarantaine d’années. Un problème épineux en perspective … car Dargentu recherchait les éclaireurs pour on ne sait quelle raison. Pour finir, Nous découvrîmes un poème sur le thème fantastique de l’amour entre une sirène et un homme, il serait une clé pour découvrir le trésor des éclaireurs, ainsi qu’une liste des éclaireurs disparus durant la chute de la Loge.
Ainsi, nous apprîmes que la Sororité d’Eiseth et ses moniales qui se louent comme assassins, tout en conservant les restes de leurs victimes seraient encore propriétaires des restes de Coriana Paradisiaque, une des éclaireuses que nous recherchons. Cet ordre mineur aurait encore pour couverture légale un funérarium dénommé « la maison du massacre » dans le Rego Cader. On fait mieux pour trouver des clients dans ce genre de commerce, me dis-je …
De plus, les Lucca, une famille décatie de Couronne d’Ouest dont Rance serait le dernier survivant laissé en vie par les Thrunes disposerait des restes du capitaine aventurier Aigerl Ghaelfin. Il fallait envisager une visite à cet homme, propriétaire d’une arène de combats à la légalité douteuse nommée le Diablodrome, localisée une fois n’est pas coutume dans le Rego Cader.
Quant aux autres, nous n’en savions pas plus, si ce n’est qu’un des éclaireurs, Ilnérik Shivanshin, chroniqueur de Bisby, aurait fui Couronne d’Ouest lors de la Guerre Civile.
En dépouillant les autres documents, nous finîmes par saisir l’existence d’un artefact d’origine Mangwi, représentant un divinité duale, maléfique et bénéfique et découpées en plusieurs morceaux, dont l’influence aurait été déterminante sur la disparition de la Loge. Cela ne fit qu’épaissir le mystère.
Quant au poème amoureux, intitulé le « Mariage de Cugny », il était fort étrange. Composé d’une syllabe surnuméraire tous les 12 vers, ces syllabes mises bout à bout racontait une autre histoire : un 2nd poème nommé la porte des vagues, parle d’ouverture, c’est une cache secrète dans la Crique du Coutelas qu’il nous restait à localiser, se trouvant à 900 m des côtes, ouvrable de nuit avec un guide lumineux (celui des éclaireurs).
Mais ne pas parler de la tête coupée et vociférante de l’Erinye serait injuste. Nous fûmes en effet agonis d’injures par cette sale caboche devenu folle à cause de son emprisonnement. Du fait qu’elle pouvait nous être utile, nous décidâmes de la conserver dans sa boîte et proche de nous, mais ce ne fut pas sans la menacer de torture, notamment d’une immersion prolongé dans l’élément aqueux … Et dire que cette créature fut il y a longtemps moralement bonne, cela laisse songeur sur la puissante corruption des forces du mal.
Avec toutes les cartes en main, nous décidâmes de visiter d’abord la sororité des sœurs assassines, celles-ci occupaient un bâtiment vieillot de forme octogonale et notre entrée, à défaut d’être discrète ou fracassante, fut cocasse. En effet, nous prîmes d’infinis précautions pour avancer furtivement vers ce temple, mais nous ne découvrîmes aucune issue, sinon deux portes qui semblaient bien solides. Polis comme des Couronnais peuvent l’être, nous décidâmes alors de nous présenter sous un faux prétexte, plutôt ingénieux pour gagner leur confiance. Ainsi, je me présentai comme un noble historien et mes comparses comme mon équipe enquêtant sur les temps passés. Mais les moniales refusèrent illico presto toute forme de discussion, et nous prîmes un vent devant la porte, alors que le judas se refermait. Qu’à cela ne tienne, la force de Bartoli allait détruire la frontière matérielle entre nous et les moniales, la porte devait céder ! Hourra Bartoli ! Malheureusement, la porte semblait plutôt solide et Bartoli peinait, les moniales auraient bientôt le temps de s’organiser pour tous nous trucider, pensions-nous. Carsi eut l’idée d’utiliser une des baguettes de rouille récupérée durant nos précédentes pérégrinations. Eureka ! Le montant de la porte détruit, la porte fut défoncée et les moniales devant nous.
Le combat fut bref et sanglant, ces femmes n’avaient pas dû déployer leur talent depuis bien longtemps, car nous en vînmes à bout très vite et sans réelles difficultés, puis retrouvâmes l’urne funéraire de Coriana dans les souterrains. Prêts à partir, je pus constater une fois de plus que la curiosité légendaire des halfelins n’était plus à prouver. Brie adorait en effet fouiner et mal lui en prit, elle ouvrit le four qui faisait office de crématorium dans le bâtiment, pour libérer un élémentaire de feu d’une rare puissance et qui fut un adversaire autrement plus coriace que ses maitresses défuntes.
Sur place, nous décidâmes d’interroger la défunte dont nous venions de récupérer les cendres : Coriana Paradisiaque. Elle nous informa que Gaelfin connaissait les systèmes de sécurité de la Loge, comme Bisby. Elle nous indiqua également une plage au sable noir avec un rocher rouge à partir duquel on pouvait retrouver la cachette en barque. Pour finir, elle nous expliqua qu’elle avait tenté d’opposer à la famille Thrune la famille Davian, mais que tous s’étaient faits massacrer.
Notre prochaine étape serait le Diablodrome.